Miroir, mon beau miroir…




Matoufilou

La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
4 Commentaires
  1. Un peu de vignettage (même un peu plus que ça) pour mieux isoler cette confrontation aujourd’hui très habituelle entre un portable et un porteur. Il semble y avoir un lien très fort entre ces deux “choses”… de l’amour ? En tout cas, une addiction !

  2. C’est aussi ce que je me dis en regardant mon image dans la glace chaque matin. Le problème, c’est personne d’autre ne me le dit.
    MRVR

  3. Les deux bords NO et SE sont déjà sombres et je voulais conserver le pavé : le vignetage n’avait donc pas trop de sens ici pour moi.
    Quant au contenu, j’interprète évidemment, mais avec sa couronne de fleurs cette demoiselle m’a fait songer à une princesse des temps passés que le portable des temps contemporains aurait désavouée.
    Les deux fardeaux de l’amour selon Comte-Sponville sont l’espoir et la crainte : où se situe cette jeune femme ?

  4. Quid du narcissisme ?

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