Sans “lourd” contre-jour pour ne pas effaroucher le Matou !




Estienne

Apprenti en argentique avec ses labos rouges aux odeurs lourdes de leurs soupes chimiques avant d'évoluer vers le numérique et ses MégaOctets électroniques impalpables et inodores, depuis 50 ans mais toujours Photographe Amateur
8 Commentaires
  1. Le chemin semble aussi fonctionner comme une ligne de partage rectiligne entre les feuillus et les conifères .

  2. Ce n’est pas que le Matou est effarouché par les contre-jours, c’est qu’il préfère la douceur des brumes, comme ici. Merci Estienne.

  3. @ Matoufilou : je le devine bien mais c’était surtout pour marquer la différence de traitement entre ces deux images !

  4. Dans ce monde de brutes vive la douceur !

  5. C’est vrai que l’on préfère contempler cette douce brume plutôt que de respirer les gaz des lacrymos.

  6. Très belle photo pleine de nuances.

  7. On remontait vers le collet de Doizieux et on venait de quitter le brouillard, des conditions qui permettent un éclairage tout en douceur car le soleil n’a pas encore percé. Merci de vos avis.
    @ Matoufilou : Moi aussi, j’aime la douceur !

  8. Et tu la rends bien, Estienne, c’est une photo très apaisante.

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