Estienne sur 23 juillet 2019 à 13h06 On dirait un titre de polar ! En attendant le meurtre, très belle mise en valeur de la géologie des falaises feuilletées du pays basque !
Matoufilou sur 23 juillet 2019 Ă 14h25 Oh, excellent, je retiens l’idĂ©e du polar ! Le Monsieur qui s’avance vers les dames va frapper. Il va les frapper avec un sac contenant un gĂ¢teau basque traditionnel Ă la pĂ¢te d’amande, avec son fond de confiture de cerises, pris par une pulsion destructrice. Mais le gĂ¢teau basque n’est pas assez dur, il rate son coup, les victimes se relèvent… HĂ©las, les deux dames, qui ne sont pas anglaises mais amĂ©ricaines, au lieu de se dĂ©fendre Ă coup de sac Ă main, prennent peur, reculent et trĂ©buchent du haut des falaises feuilletĂ©es… “Il frappe avec un gĂ¢teau basque : deux morts Ă Socoa !” Mais oĂ¹ commence le polar, c’est que l’homme est retrouvĂ© mort dans sa cellule le lendemain matin, visiblement empoisonnĂ©. On apprend alors qu’une des dames, hĂ©ritière de la fortune Winchester, n’a plus pour famille qu’un lointain neveu, vu la veille Ă Saint-Jean de Luz avec un homme agitĂ©… Yeaaah !
Monsieur HR sur 23 juillet 2019 Ă 14h52 L’assassin ne va pas s’en tirer car les poulets Ă la basquaise sont Ă ses trousses.
Monsieur HR sur 23 juillet 2019 Ă 16h38 Plaisanterie mise Ă part, j’aime bien cet accordĂ©on gĂ©ant surmontĂ© des ces personnages minuscules.
blagapart sur 25 juillet 2019 Ă 18h37 Un beau mille-feuilles, avec le contraste qui lui convient. La silhouette du personnage de droite est parfaite.
On dirait un titre de polar ! En attendant le meurtre, très belle mise en valeur de la géologie des falaises feuilletées du pays basque !
Oh, excellent, je retiens l’idĂ©e du polar !
Le Monsieur qui s’avance vers les dames va frapper.
Il va les frapper avec un sac contenant un gĂ¢teau basque traditionnel Ă la pĂ¢te d’amande, avec son fond de confiture de cerises, pris par une pulsion destructrice. Mais le gĂ¢teau basque n’est pas assez dur, il rate son coup, les victimes se relèvent…
HĂ©las, les deux dames, qui ne sont pas anglaises mais amĂ©ricaines, au lieu de se dĂ©fendre Ă coup de sac Ă main, prennent peur, reculent et trĂ©buchent du haut des falaises feuilletĂ©es…
“Il frappe avec un gĂ¢teau basque : deux morts Ă Socoa !”
Mais oĂ¹ commence le polar, c’est que l’homme est retrouvĂ© mort dans sa cellule le lendemain matin, visiblement empoisonnĂ©.
On apprend alors qu’une des dames, hĂ©ritière de la fortune Winchester, n’a plus pour famille qu’un lointain neveu, vu la veille Ă Saint-Jean de Luz avec un homme agitĂ©…
Yeaaah !
L’assassin ne va pas s’en tirer car les poulets Ă la basquaise sont Ă ses trousses.
… voire mĂªme Ă ses basques.Ça ne fait pas un flish !
Plaisanterie mise Ă part, j’aime bien cet accordĂ©on gĂ©ant surmontĂ© des ces personnages minuscules.
Merci Ă vous deux. J’ai bien rigolĂ© !
Un beau mille-feuilles, avec le contraste qui lui convient. La silhouette du personnage de droite est parfaite.
Quelles superbes “vagues” !!!