La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
6 Commentaires
Monsieur HR
sur 9 juillet 2019 à 14h51
Ils semblent avoir les idées noires ces petits bateaux .
Matoufilou
sur 9 juillet 2019 à 15h52
C’est vrai qu’on voit bien les cordes qui les pendent.
Estienne
sur 10 juillet 2019 à 9h04
Un traitement qui se voit … artefact autour du ciel sur la partie basse et je ne vois plus que cela … dur, dur !
Matoufilou
sur 10 juillet 2019 à 11h06
@ Estienne : Je voyais cela comme un décor de fond expressionniste pour de petits personnages colorés qui chercheraient à dire le fleuve.
“Je veux un bateau en papier pour écrire les mémoires du fleuve”.
C’est donc volontairement outré, dur, comme un décor de fond sur-expressif.
Estienne
sur 10 juillet 2019 à 12h54
La phrase est très belle !
Matoufilou
sur 12 juillet 2019 à 8h37
La phrase est d’un poète du Village d’Alfonse, qui en a mis plein sa besace en cette période où Rennes a fêté son fleuve.
Merci à tous les deux.
Ils semblent avoir les idées noires ces petits bateaux .
C’est vrai qu’on voit bien les cordes qui les pendent.
Un traitement qui se voit … artefact autour du ciel sur la partie basse et je ne vois plus que cela … dur, dur !
@ Estienne : Je voyais cela comme un décor de fond expressionniste pour de petits personnages colorés qui chercheraient à dire le fleuve.
“Je veux un bateau en papier pour écrire les mémoires du fleuve”.
C’est donc volontairement outré, dur, comme un décor de fond sur-expressif.
La phrase est très belle !
La phrase est d’un poète du Village d’Alfonse, qui en a mis plein sa besace en cette période où Rennes a fêté son fleuve.
Merci à tous les deux.