Matoufilou sur 26 novembre 2018 à 21h04 Mon garçon en a un dans son lit depuis deux ans (en peluche).
Estienne sur 27 novembre 2018 à 9h43 Que sont tous ces points blancs et notamment sur la partie basse de la photo ? Négatif scanné ?
Matoufilou sur 27 novembre 2018 Ă 9h51 Nous avons les Pottioks cĂ´tĂ© nord et les Bedous cĂ´tĂ© sud : les brebis (je ne sais pas comment on dit en basque). Quant aux points lumineux le long de la route, je pense que ce sont des baliveaux, dĂ©jĂ en place dès l’automne. Et ce n’est pas un nĂ©gatif scannĂ©.
JLB sur 27 novembre 2018 Ă 10h23 Le ruban de la route est bien mis en valeur par la lumière et le cadrage. J’aurais peut-Ăªtre sous-exposĂ© lĂ©gèrement le versant tout Ă gauche pour accentuer encore plus ce ruban et Ă©quilibrer l’image. Cette photo m’en Ă©voque une autre que j’ai dĂ» prendre Ă peu près du mĂªme endroit il y a longtemps. Je vais chercher…
Matoufilou sur 27 novembre 2018 Ă 12h29 @ Monsieur HR : J’avais un doute, mais après recherche je confirme que le cheval traditionnel basque s’Ă©crit Pottok (mais se prononce bien Pottiok). @ JLB : Si tu retrouves ton clichĂ©, ce serait intĂ©ressant de comparer le point de vue… Quant Ă la gauche lĂ©gèrement surexposĂ©e, je penche pour un effet de la brume en cours de dissipation au moment du dĂ©clenchement. J’ai foncĂ© un peu les clairs avant publication, mais la nuance est fragile et l’autre cĂ´tĂ© se trouve vite dĂ©stabilisĂ©.
blagapart sur 28 novembre 2018 Ă 19h13 Je trouve la lumière bien rendue avec ce traitement et j’aime ce chemin qui nous conduit vers la lumière.
brigitte david sur 29 novembre 2018 Ă 12h33 je pense à ça en voyant ça… Richard Long dit que sa dĂ©marche c’est la marche. Il arpente. Quand on arpente on pense. Il aime les dĂ©serts, tout ce vide au-dessus de la tĂªte. Il n’y a rien que le sol aride. Il fait un cercle de pierre, prend sa photo et puis il remet tout en place pour ne pas dĂ©ranger la nature. Plus tard, sous un soleil Ă©crasant, il sort une antique cafetière en Ă©mail remplie d’eau et dessine de son bec Ă©brĂ©chĂ© de minces tracĂ©s de fleuves immenses : l’Amazone, le Zambèze, le Nil…
Matoufilou sur 29 novembre 2018 Ă 17h36 Arpenter, penser, capter, ne pas dĂ©ranger… C’est une jolie leçon, merci Brigitte. Et merci Blagapart.
“Pourtant, que la montagne est belle”… Top !
Montagne mythique oĂ¹ l’on croise les pottiocks.
Mon garçon en a un dans son lit depuis deux ans (en peluche).
Que sont tous ces points blancs et notamment sur la partie basse de la photo ? Négatif scanné ?
Nous avons les Pottioks cĂ´tĂ© nord et les Bedous cĂ´tĂ© sud : les brebis (je ne sais pas comment on dit en basque). Quant aux points lumineux le long de la route, je pense que ce sont des baliveaux, dĂ©jĂ en place dès l’automne. Et ce n’est pas un nĂ©gatif scannĂ©.
Le ruban de la route est bien mis en valeur par la lumière et le cadrage. J’aurais peut-Ăªtre sous-exposĂ© lĂ©gèrement le versant tout Ă gauche pour accentuer encore plus ce ruban et Ă©quilibrer l’image. Cette photo m’en Ă©voque une autre que j’ai dĂ» prendre Ă peu près du mĂªme endroit il y a longtemps. Je vais chercher…
@ Monsieur HR : J’avais un doute, mais après recherche je confirme que le cheval traditionnel basque s’Ă©crit Pottok (mais se prononce bien Pottiok).
@ JLB : Si tu retrouves ton clichĂ©, ce serait intĂ©ressant de comparer le point de vue… Quant Ă la gauche lĂ©gèrement surexposĂ©e, je penche pour un effet de la brume en cours de dissipation au moment du dĂ©clenchement. J’ai foncĂ© un peu les clairs avant publication, mais la nuance est fragile et l’autre cĂ´tĂ© se trouve vite dĂ©stabilisĂ©.
C’est juste.
Je trouve la lumière bien rendue avec ce traitement et j’aime ce chemin qui nous conduit vers la lumière.
je pense à ça en voyant ça…
Richard Long dit que sa dĂ©marche c’est la marche. Il arpente. Quand on arpente on pense. Il aime les dĂ©serts, tout ce vide au-dessus de la tĂªte. Il n’y a rien que le sol aride. Il fait un cercle de pierre, prend sa photo et puis il remet tout en place pour ne pas dĂ©ranger la nature. Plus tard, sous un soleil Ă©crasant, il sort une antique cafetière en Ă©mail remplie d’eau et dessine de son bec Ă©brĂ©chĂ© de minces tracĂ©s de fleuves immenses : l’Amazone, le Zambèze, le Nil…
Arpenter, penser, capter, ne pas dĂ©ranger… C’est une jolie leçon, merci Brigitte.
Et merci Blagapart.