Apprenti en argentique avec ses labos rouges aux odeurs lourdes de leurs soupes chimiques avant d'évoluer vers le numérique et ses MégaOctets électroniques impalpables et inodores, depuis 50 ans mais toujours Photographe Amateur
Belle idée de vouloir opposer cette vitalité végétale à ce relief minéral qui semble vouloir l’enfouir… mais, comme MrHR, je ne suis pas convaincu par par le résultat présenté ici, sans vraiment pouvoir dire pourquoi (il faudrait pour ça connaître le hors-champ).
Pour moi un carré de la partie base mettrait mieux en valeur cette opposition…
jmlg
sur 12 mai 2018 à 20h27
Le hors-champ est induit sur “Ligne discontinue”…
Estienne
sur 12 mai 2018 à 21h37
jmlg a raison, cette photo est prise de l’épingle suivante sur la route donc au dessus à gauche du pommier central de “ligne discontinue”. L’idée est l’opposition végétal-minéral donc de restreindre le champ sans vouloir montrer ni toute la montagne ni tout l’arbre. Et le chaos granitique si typique de ces lieux augmente au fur et à mesure que l’on gravit la crête sauf que le brouillard s’en mêle mais cela me convenait plutôt bien. Les proportions me semblaient intéressantes mais j’admets que ce n’est pas très classique tout en se voulant minimaliste.
Un grand merci d’avoir su quand même profiter avec moi de l’accalmie (très brève) dans le rideau de pluie (voire de neige) de ce dernier dimanche d’avril et de vos commentaires !
Là, j’ai du mal avec cet arbre tronqué.
Belle idée de vouloir opposer cette vitalité végétale à ce relief minéral qui semble vouloir l’enfouir… mais, comme MrHR, je ne suis pas convaincu par par le résultat présenté ici, sans vraiment pouvoir dire pourquoi (il faudrait pour ça connaître le hors-champ).
Pour moi un carré de la partie base mettrait mieux en valeur cette opposition…
Le hors-champ est induit sur “Ligne discontinue”…
jmlg a raison, cette photo est prise de l’épingle suivante sur la route donc au dessus à gauche du pommier central de “ligne discontinue”. L’idée est l’opposition végétal-minéral donc de restreindre le champ sans vouloir montrer ni toute la montagne ni tout l’arbre. Et le chaos granitique si typique de ces lieux augmente au fur et à mesure que l’on gravit la crête sauf que le brouillard s’en mêle mais cela me convenait plutôt bien. Les proportions me semblaient intéressantes mais j’admets que ce n’est pas très classique tout en se voulant minimaliste.
Un grand merci d’avoir su quand même profiter avec moi de l’accalmie (très brève) dans le rideau de pluie (voire de neige) de ce dernier dimanche d’avril et de vos commentaires !