Photographe amateur, amateur de photographie. Surtout attiré par la prise de vue, le regard. Attrait particulier pour le N&B.
A suivre ici : Station 32. Et aussi sur Facebook ou Twitter
5 Commentaires
Monsieur HR
sur 25 janvier 2018 à 15h12
… pixellisè ?
Tentative audacieuse mais je en parviens pas à la trouver concluante.
J’y vois une tentative d’effraction visuelle par la photographie. On devine des maisons et sans doute des personnes à droite, qui se pensaient bien à l’abri des regards derrière ce double maillage… Ce serait intéressant de savoir si cet arrière plan était visible à l’oeil ou si il n’est apparu qu’au tirage en jouant des curseurs… (« révélation » à la « Blow up » 🙂 )
Estienne
sur 25 janvier 2018 à 22h00
Le sujet est la barrière derrière laquelle se cache une humanité qui tente d’échapper à ses terreurs. Double mais perméable donc rassurante mais affaiblissante … Je n’aime pas trop l’image mais l’idée qu’elle véhicule me semble intéressante et terriblement d’actualité …
« … le grillage », pour finir la phrase, mais ce qui est derrière, dans le flou. Pas de message, juste une atmosphère lumineuse et urbaine, composée d’une aire de jeu/sport sableuse, d’un graph’ sur pignon, d’antennes-relais sur immeuble moche, … le tout sur fond de ciel noir à un moment vide de toute activité humaine.
Ou comment l’urbanisme brownien des faubourgs d’une ville, fait par et pour les humains que l’on ne voit pas, à un endroit où en général, on ne flâne pas si on n’y habite pas, donne quelquefois des points de vue « intéressants » (à mes yeux tout au moins 😉
… pixellisè ?
Tentative audacieuse mais je en parviens pas à la trouver concluante.
J’y vois une tentative d’effraction visuelle par la photographie. On devine des maisons et sans doute des personnes à droite, qui se pensaient bien à l’abri des regards derrière ce double maillage… Ce serait intéressant de savoir si cet arrière plan était visible à l’oeil ou si il n’est apparu qu’au tirage en jouant des curseurs… (« révélation » à la « Blow up » 🙂 )
Le sujet est la barrière derrière laquelle se cache une humanité qui tente d’échapper à ses terreurs. Double mais perméable donc rassurante mais affaiblissante … Je n’aime pas trop l’image mais l’idée qu’elle véhicule me semble intéressante et terriblement d’actualité …
Je vois un contraste conceptuel et de formes entre les mailles fines du fond (tissu?) et les mailles grossières du grillage…
« … le grillage », pour finir la phrase, mais ce qui est derrière, dans le flou. Pas de message, juste une atmosphère lumineuse et urbaine, composée d’une aire de jeu/sport sableuse, d’un graph’ sur pignon, d’antennes-relais sur immeuble moche, … le tout sur fond de ciel noir à un moment vide de toute activité humaine.
Ou comment l’urbanisme brownien des faubourgs d’une ville, fait par et pour les humains que l’on ne voit pas, à un endroit où en général, on ne flâne pas si on n’y habite pas, donne quelquefois des points de vue « intéressants » (à mes yeux tout au moins 😉