JMP sur 17 mai 2016 à 14h18 Très belle image, intrigante: lequel des deux est un mannequin de cire ? Les deux ? Aucun ? Le tout servi par un tirage parfait.
blagapart sur 17 mai 2016 à 16h31 Cette image me rend perplexe par son air de déjà -vu. Mais j’ai beau fouiller mes souvenirs, je ne trouve pas de référence claire, à part d’innombrables extases de saintes pour le haut de la femme. Si l’on sort du jeu culturel des emprunts multiples, il reste une image d’une qualité exceptionnelle, ce qui est le plus important !
Estienne sur 17 mai 2016 à 16h49 C’est vrai que l’on cherche les références dans la peinture comme ces vieux tableaux fin dix-neuvième. J’aurai bien vu en plus un peu de vignettage pour noyer un peu les bords de l’image mais déjà comme cela, un sacré travail et un excellent tirage (même ce n’est pas mon genre d’image) …
JLB sur 17 mai 2016 à 17h34 Une image onirique manifestement nourrie de références artistiques revisitées avec originalité et justesse. Le jeu des matières est un régal (le lourd manteau de fourrure et le voile de tulle…) Dans sa pose générale, la position des mains, la tête renversée et le regard latéral, la femme me fait surtout penser au Michel-Ange de la Sixtine.
brigitte david sur 18 mai 2016 à 11h11 Dans l’ombre, la forêt des contes.Dans la lumière un fouillis, un abandon des choses propre à la mélancolie. Un partage ombre /lumière en diagonale souligné par un fort contraste mat/brillant.. Le voile me fait penser aux draps dont on recouvre les meubles dans un lieu désaffecté – ou à des toiles d’araignée -et j’ai pensé à ce film La Clepsydre”… Le regard perdu de la naufragée souligne la tentation de lâcher la réalité pour se faire la proie de l’ombre.
.gilbert sur 18 mai 2016 à 21h15 Bonsoir et merci de vos commentaires une fusion réalisée par la jeune fille qui a bien voulue poser pour moi
Très belle image, intrigante: lequel des deux est un mannequin de cire ? Les deux ? Aucun ? Le tout servi par un tirage parfait.
Cette image me rend perplexe par son air de déjà -vu. Mais j’ai beau fouiller mes souvenirs, je ne trouve pas de référence claire, à part d’innombrables extases de saintes pour le haut de la femme.
Si l’on sort du jeu culturel des emprunts multiples, il reste une image d’une qualité exceptionnelle, ce qui est le plus important !
C’est vrai que l’on cherche les références dans la peinture comme ces vieux tableaux fin dix-neuvième. J’aurai bien vu en plus un peu de vignettage pour noyer un peu les bords de l’image mais déjà comme cela, un sacré travail et un excellent tirage (même ce n’est pas mon genre d’image) …
Beau travail.
Une image onirique manifestement nourrie de références artistiques revisitées avec originalité et justesse. Le jeu des matières est un régal (le lourd manteau de fourrure et le voile de tulle…) Dans sa pose générale, la position des mains, la tête renversée et le regard latéral, la femme me fait surtout penser au Michel-Ange de la Sixtine.
…ou plus généralement à la Renaissance tardive et au maniérisme.
Dans l’ombre, la forêt des contes.Dans la lumière un fouillis, un abandon des choses propre à la mélancolie. Un partage ombre /lumière en diagonale souligné par un fort contraste mat/brillant..
Le voile me fait penser aux draps dont on recouvre les meubles dans un lieu désaffecté – ou à des toiles d’araignée -et j’ai pensé à ce film La Clepsydre”… Le regard perdu de la naufragée souligne la tentation de lâcher la réalité pour se faire la proie de l’ombre.
Bonsoir et merci de vos commentaires
une fusion réalisée par la jeune fille qui a bien voulue poser pour moi