brigitte david sur 15 mai 2016 à 15h49 Oui M. HR j’ai pensé à Asghar Farhadi. C’était même ma première idée de titre “La fête du feu”. Patrick L. ou une façon de réchauffer un printemps tardif!
adrien pairraud sur 15 mai 2016 à 20h41 décidément, je ne me fais pas à votre volonté délibérée de massacrer des sujets aussi intéressants … il s’agit, je le sais, d’une question de philosophie photographique, mais dans des cas comme celui-ci, quel dommage !
Jean Fraipont sur 15 mai 2016 à 22h46 “Massacrer” est un peu fort, car la chaleur est bien là ! Au passage, ça me rappelle le nettoyage des bords de chemins au printemps.
brigitte david sur 16 mai 2016 à 10h27 Où ai-je exprimé “une volonté délibérée” de massacre Adrien Pairraud? Il me semble que je maîtrise mieux que ça la subtilité de la langue! 🙂 En l’occurrence ce qui a fait une photo ici c’était un jour sans lumière, gris pluvieux et ce contraste entre le paysage éteint et la légèreté et la vigueur du feu me paraissait – tel quel – digne d’un peu d’intérêt. Plus je regarde cette flamme , plus je me demande si je ne serais pas pyrowoman!
brigitte david sur 16 mai 2016 à 23h37 @Adrien Pairraud !… je ne serai pas froissée si quelqu’un me propose une version plus raffinée. Sorte de velouté de nuit…
Que la fête commence !
C’est déjà la St Jean ! 😉
Oui M. HR j’ai pensé à Asghar Farhadi. C’était même ma première idée de titre “La fête du feu”.
Patrick L. ou une façon de réchauffer un printemps tardif!
Le retour du buisson ardent !
décidément, je ne me fais pas à votre volonté délibérée de massacrer des sujets aussi intéressants … il s’agit, je le sais, d’une question de philosophie photographique, mais dans des cas comme celui-ci, quel dommage !
“Massacrer” est un peu fort, car la chaleur est bien là ! Au passage, ça me rappelle le nettoyage des bords de chemins au printemps.
Où ai-je exprimé “une volonté délibérée” de massacre Adrien Pairraud?
Il me semble que je maîtrise mieux que ça la subtilité de la langue! 🙂
En l’occurrence ce qui a fait une photo ici c’était un jour sans lumière, gris pluvieux et ce contraste entre le paysage éteint et la légèreté et la vigueur du feu me paraissait – tel quel – digne d’un peu d’intérêt.
Plus je regarde cette flamme , plus je me demande si je ne serais pas pyrowoman!
@Adrien Pairraud !…
je ne serai pas froissée si quelqu’un me propose une version plus raffinée. Sorte de velouté de nuit…
Je préférais le premier tirage, plus lisible