Estienne sur 18 février 2016 à 18h42 Une image très dégradée et du coup, un effet presque aquarelle …
Jean Fraipont sur 19 février 2016 à 0h01 On retrouvera sans doute les mêmes observations que pour la photo du 3 août.
brigitte david sur 19 février 2016 à 10h22 Merci à vous deux de vous être attardés sur cette proposition. Je me souviens des remous d’indignation du “3 Août” devant ma technique photographique déviante. Sauf que la proposition fait fi de la technique. Pas par principe.Et plus encore je me souviens d’un lieu commun chez les photographes “mâles” qui dénient l’enfance comme sujet photographique. Contrairement à ce que m’avait remarquer Ceci est le détail d’une photo prise au vol… Pas le temps de paramétrer. J’aime saisir les moments de réflexion, de surprise, d’interrogation. L’intensité d’un regard sur les choses. Jean Fraipont. PLutôt qu’à la photo du 3 Août cette photo me renvoie à celle du 25 Juillet 2013 , “Super8. La ligne de sable”… S’il y a développements ultérieurs , elle en ferait partie…
andreroques sur 19 février 2016 à 22h22 C’est quand même dommage que l’image soit dégradée. Pour celle du 25/07/2013, ce n’est pas pareil : il y a une belle composition, un graphisme certain, même si c’est flou. Et puis, même pour une photo prise au vol, on a quand même l’appareil dans les mains. Est-ce que la photo, prise 2 à 3 secondes plus tard, le temps que l’autofocus patine un peu, n’aurait pas été meilleure ?? Je reconnais quand même qu’il faut sacrément être à l’affut pour faire des photos d’enfant.
brigitte david sur 20 février 2016 à 1h21 Andréroques… J’exagère. J’en conviens. L’état d’interrogation et de découverte permanente , l’intensité de leur présence aux choses, dans lesquels sont les très jeunes enfants en fait des sujets de photographie extraordinaire. Il me reste une mine de diapos et de planches contacts à exploiter, bien cadrées, bien éclairées, pas floues, mais j’aime saisir ces moments furtifs, les temps de – brève- latence, avec le lapin qui se ramollit sur le canapé…
Brigitte Ghilain sur 26 février 2016 à 16h37 Ah oui! Bien choisi pour le partage! Tout à fait en accord avec ton dernier paragraphe (et ta réponse précédente). Osons!!! Et osons le sensible. C’est sans doute cela qui nous manque parfois, quand on veut rester dans l’esthétiquement correct et plaisant. Merci brigitte.
Une image très dégradée et du coup, un effet presque aquarelle …
On retrouvera sans doute les mêmes observations que pour la photo du 3 août.
Merci à vous deux de vous être attardés sur cette proposition. Je me souviens des remous d’indignation du “3 Août” devant ma technique photographique déviante. Sauf que la proposition fait fi de la technique. Pas par principe.Et plus encore je me souviens d’un lieu commun chez les photographes “mâles” qui dénient l’enfance comme sujet photographique. Contrairement à ce que m’avait remarquer
Ceci est le détail d’une photo prise au vol…
Pas le temps de paramétrer. J’aime saisir les moments de réflexion, de surprise, d’interrogation. L’intensité d’un regard sur les choses.
Jean Fraipont. PLutôt qu’à la photo du 3 Août cette photo me renvoie à celle du 25 Juillet 2013 , “Super8. La ligne de sable”… S’il y a développements ultérieurs , elle en ferait partie…
C’est quand même dommage que l’image soit dégradée. Pour celle du 25/07/2013, ce n’est pas pareil : il y a une belle composition, un graphisme certain, même si c’est flou.
Et puis, même pour une photo prise au vol, on a quand même l’appareil dans les mains. Est-ce que la photo, prise 2 à 3 secondes plus tard, le temps que l’autofocus patine un peu, n’aurait pas été meilleure ??
Je reconnais quand même qu’il faut sacrément être à l’affut pour faire des photos d’enfant.
Andréroques… J’exagère. J’en conviens.
L’état d’interrogation et de découverte permanente , l’intensité de leur présence aux choses, dans lesquels sont les très jeunes enfants en fait des sujets de photographie extraordinaire.
Il me reste une mine de diapos et de planches contacts à exploiter, bien cadrées, bien éclairées, pas floues, mais j’aime saisir ces moments furtifs, les temps de – brève- latence, avec le lapin qui se ramollit sur le canapé…
Ah oui! Bien choisi pour le partage!
Tout à fait en accord avec ton dernier paragraphe (et ta réponse précédente). Osons!!! Et osons le sensible. C’est sans doute cela qui nous manque parfois, quand on veut rester dans l’esthétiquement correct et plaisant.
Merci brigitte.