Brigitte David sur 12 avril 2011 à 14h37 Blagapart dans les villes c’est du bon Wenders… Photo harmonieuse pour un moment volé qui a l’air de l’être moins. Je préfère la version noir et blanc.
Bernard LVQ sur 12 avril 2011 à 14h58 Toute une ambiance, une réflexion et une construction que j’adore. Un moment j’ai cru à une exhumation d’Irène 😉
alain-michel boley sur 12 avril 2011 à 20h40 Si j’ai bien compris, dans la version couleur : c’est l’automne; et en noir et blanc, l’hiver… Bon, j’économise pour photoshop et le gardien de but je tâcherais de faire quelque chose pour qu’il soit moins angoissé ! Bonne composition pour l’entraînement. ;o)
Irène de Groot sur 12 avril 2011 à 20h46 En effet, une certaine ambiance, mais j’ai toujours une impression de bâclage due à une superposition un peu sauvage. Peut-être est-ce un parti pris…
Jean-Marc Silvestre sur 12 avril 2011 Ã 22h48 C’est bizarre, mais le titre me rappelle un film. Question subsidiaire, pourquoi guillotinez vous vos personnages avant le PDV ?
blagapart sur 12 avril 2011 à 23h02 @ Irène : j’aime bien votre qualificatif “sauvage”. “Bâclage” est plus désagréable, mais comme vous avez un oeil exercé, si c’est l’effet que cela vous inspire, il doit y avoir du vrai… @ alain-michel : vous arrivez à vivre sans photoshop ?
blagapart sur 12 avril 2011 à 23h08 @ JM. S. : l’angoisse du gardien de but etc… était un livre de Peter Handke, mis en image par Wim Wenders. Brigitte dans les villes ne s’y est pas trompée !
Irène de Groot sur 12 avril 2011 à 23h37 @ blagapart, j’aurais dû dire: “..faite dans l’urgence, la précipitation” 😉
Brigitte David sur 13 avril 2011 à 1h45 Peter Handke … La Femme gauchère, Faux Mouvement, l’après-mii d’un écrivain… Avant qu’il ne dégénère, ou ne soit rattrapé par ses démons. Wim Wenders toujours vivant , toujours vibrant. Ouah son Pina (Bausch) … Il faudrait du temps pour analyser vos photos, mais effectivement les personnages décapités ou coupés au tronc, les Jours intranquilles sur la Corne d’or, les enfants perdus … Il y a dans vos photos comme une tentative de la peinture. Dans celle-ci on distingue ces deux courbes et puis on imagine le mouvement arrêté. L’hésitation , l’incertitude, le souci peut-être de ne pas en rajouter dans le pathos. La question du bâclage ne surgit – comme une hypothèse induite par la réflexion d’Irène – – qu’après réflexion. Immédiatement on est quand même happé par cette photo.
Francis Leplay sur 13 avril 2011 à 15h11 Belle image très frappante. L’homme me semble moins décapité que pensif. C’est ce qu’il y a de bien avec les gens de dos. Ils n’appartiennent pas au regard du photographe mais à l’imaginaire du spectateur. Et de profil, le deuxième banc me fait furieusement penser à une girafe… Comme quoi l’imaginaire!
Brigitte David sur 13 avril 2011 Ã 15h23 Mais oui Francis une girafe en caoutchouc qui a je crois 50 ans aujourd’hui … La tienne?…
blagapart sur 13 avril 2011 à 20h09 @Brigitte et Irène : vous parlez d’or! @Francis : j’aime beaucoup cette idée de la girafe, surtout enrichie par Brigitte ! Pour l’homme du banc, en fait il est de face, mais bien noirci il parait être de dos…
Blagapart dans les villes c’est du bon Wenders… Photo harmonieuse pour un moment volé qui a l’air de l’être moins.
Je préfère la version noir et blanc.
Toute une ambiance, une réflexion et une construction que j’adore.
Un moment j’ai cru à une exhumation d’Irène 😉
Si j’ai bien compris, dans la version couleur : c’est l’automne; et en noir et blanc, l’hiver…
Bon, j’économise pour photoshop et le gardien de but je tâcherais de faire quelque chose pour qu’il soit moins angoissé !
Bonne composition pour l’entraînement.
;o)
En effet, une certaine ambiance, mais j’ai toujours une impression de bâclage due à une superposition un peu sauvage.
Peut-être est-ce un parti pris…
C’est bizarre, mais le titre me rappelle un film.
Question subsidiaire, pourquoi guillotinez vous vos personnages avant le PDV ?
@ Irène : j’aime bien votre qualificatif “sauvage”. “Bâclage” est plus désagréable, mais comme vous avez un oeil exercé, si c’est l’effet que cela vous inspire, il doit y avoir du vrai…
@ alain-michel : vous arrivez à vivre sans photoshop ?
@ JM. S. : l’angoisse du gardien de but etc… était un livre de Peter Handke, mis en image par Wim Wenders. Brigitte dans les villes ne s’y est pas trompée !
@ blagapart,
j’aurais dû dire: “..faite dans l’urgence, la précipitation” 😉
Peter Handke … La Femme gauchère, Faux Mouvement, l’après-mii d’un écrivain… Avant qu’il ne dégénère, ou ne soit rattrapé par ses démons. Wim Wenders toujours vivant , toujours vibrant. Ouah son Pina (Bausch) …
Il faudrait du temps pour analyser vos photos, mais effectivement les personnages décapités ou coupés au tronc, les Jours intranquilles sur la Corne d’or, les enfants perdus … Il y a dans vos photos comme une tentative de la peinture. Dans celle-ci on distingue ces deux courbes et puis on imagine le mouvement arrêté. L’hésitation , l’incertitude, le souci peut-être de ne pas en rajouter dans le pathos.
La question du bâclage ne surgit – comme une hypothèse induite par la réflexion d’Irène – – qu’après réflexion. Immédiatement on est quand même happé par cette photo.
Belle image très frappante. L’homme me semble moins décapité que pensif. C’est ce qu’il y a de bien avec les gens de dos. Ils n’appartiennent pas au regard du photographe mais à l’imaginaire du spectateur. Et de profil, le deuxième banc me fait furieusement penser à une girafe… Comme quoi l’imaginaire!
Mais oui Francis une girafe en caoutchouc qui a je crois 50 ans aujourd’hui … La tienne?…
@Brigitte et Irène : vous parlez d’or!
@Francis : j’aime beaucoup cette idée de la girafe, surtout enrichie par Brigitte ! Pour l’homme du banc, en fait il est de face, mais bien noirci il parait être de dos…