Louise Markise
se déguise,
et de fils en aiguilles,
tisse une toile mêlée
d’autoportraits
et de poésie volée.
Elle funambule entre
le mot et l’image,
entre la fantaisie et la nudité,
les couleurs et les silences.
Jeune adulte
ou grande enfant,
elle vit
depuis cinq ans à Berlin.
J’aime beaucoup cette forme bien détachée, on ne perd rien de cette “statue”. Bien fait.
Idem “dores”… J’aime !
C’est en Lybie
J’aime bien…
Le prince s’ouvre au monde avec sérénité ? 😉
Epuré, évocateur.
Tout bien