13 juillet 2024.




Matoufilou

La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
8 Commentaires
  1. “… entre Combourg et Rennes …” j’ai encore en tête la voix de Jacques Bertin que je n’ai pas entendue depuis des années.

  2. On n’a pas assez entendu Jacques Bertin, à l’univers si singulier, et pour ma part je ne connaissais pas cette très jolie chanson. Merci Hervé pour la découverte.
    J’ai bien aimé cette vue de Combourg : on y aperçoit le château et on y voit l’église, mais on sort de la Bretagne “romantique” chère aux guides touristiques.
    Réalité de Combourg.

  3. Et oui, la réalité est plutôt celle ci que celle , de Châteaubriant.
    Dans les années 70, je traversais Combourg en provenance de Tours via Vitré , direction le barrage de la Rance, puis la côte.

  4. J’aime bien ces paysages ramassés par les longues focales, c’est une façon de dire l’essentiel. Avec le gris inimitable de la pluie : excellent !

  5. Super, merci Estienne, c’est exactement ce que je pense. Pas nécessairement le excellent, mais le reste… Top !

  6. Bonjour,
    c’est du Combourg bon. J’aime cette palette subtile en sfumato.

    En argentique, de quoi s’arracher les cheveux à reproduire sur papier.

  7. Merci Lucien. Je te rejoins sur la complexité du traitement argentique pour ce genre de vues. Bonheur là-dessus du numérique (et il reste un peu de traitement possible, moins chronophage).

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