Anonyme sur 18 novembre 2023 à 17h21 La faible profondeur de champ isole cette mie prometteuse, pile au milieu où elle est la plus aérée. Hmmm, un coup d’Å“il à gauche puis à droite et j’enfonce mes narines dedans pour en humer son parfum. Bien plus subtil parfois qu’un mauvais gâteau, brioches et pains nous régalent tout autan…Suivez votre gourmandise , beurre et confiture de prunes ou pâte chocolat/noisettes . Franville
Estienne sur 18 novembre 2023 à 18h19 Faut peut-être s’associer avec Henri … j’ai quelques confitures-maison sur les étagères dans la buanderie … et des photos faites pour les étiquettes/ Je vais peut-être essayer d’en retrouver une ou l’autre.
Matoufilou sur 18 novembre 2023 à 21h13 J’aurais peut-être cadré pleine mie pour tenter une curiosité lyrique à la Henri. Après, avec de la confiture, pourquoi pas, je demande à voir… Avec un poème ça peut marcher aussi.
Henri sur 19 novembre 2023 à 8h30 Même avis que le Matou pour le cadrage , avec un peu plus de contraste , mais ce serait une autre photo.
Jean Fraipont sur 19 novembre 2023 à 19h07 […]”Ce lâche et froid sous-sol que l’on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges: feuilles ou fleurs y sont comme des soeurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois.”[…] Francis Ponge, Le Pain, in Le parti pris des choses.
Matoufilou sur 19 novembre 2023 à 21h43 Les sœurs siamoises de la mie de pain. Il fallait le trouver !
La faible profondeur de champ isole cette mie prometteuse, pile au milieu où elle est la plus aérée.
Hmmm, un coup d’Å“il à gauche puis à droite et j’enfonce mes narines dedans pour en humer son parfum.
Bien plus subtil parfois qu’un mauvais gâteau, brioches et pains nous régalent tout autan…Suivez votre gourmandise , beurre et confiture de prunes ou pâte chocolat/noisettes .
Franville
Faut peut-être s’associer avec Henri … j’ai quelques confitures-maison sur les étagères dans la buanderie … et des photos faites pour les étiquettes/ Je vais peut-être essayer d’en retrouver une ou l’autre.
Quatre heures déjà .
MRVR {
J’aurais peut-être cadré pleine mie pour tenter une curiosité lyrique à la Henri. Après, avec de la confiture, pourquoi pas, je demande à voir…
Avec un poème ça peut marcher aussi.
Même avis que le Matou pour le cadrage , avec un peu plus de contraste , mais ce serait une autre photo.
[…]”Ce lâche et froid sous-sol que l’on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges: feuilles ou fleurs y sont comme des soeurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois.”[…] Francis Ponge, Le Pain, in Le parti pris des choses.
Les sœurs siamoises de la mie de pain. Il fallait le trouver !