Apprenti en argentique avec ses labos rouges aux odeurs lourdes de leurs soupes chimiques avant d'évoluer vers le numérique et ses MégaOctets électroniques impalpables et inodores, depuis 50 ans mais toujours Photographe Amateur
12 Commentaires
Anonyme
sur 4 mars 2023 à 9h00
Le soleil perce le sous bois, c’est très paisible et cela fait du bien.
MRVR
M.RVR
sur 4 mars 2023 à 12h42
Et merci pour le clin d’oeil. Ces trois là font la paire (sic) avec les trois marcheuses de ma publication.
Matoufilou
sur 4 mars 2023 à 22h47
Contrepoint amusant effectivement à la photo d’RV. Environnement plus aéré, mais la problématique reste la même : des personnages pris de dos nécessairement s’éloignent et vont vers un ailleurs qui nous est inconnu. C’est ce qu’il y a d’angoissant et de beau dans ce genre de photo.
très belle image, bien dosée…. J’aime beaucoup la douceur qui s’en dégage.
Pour moi, rien d’angoissant, ils cheminent vers un ailleurs lumineux, plein de promesses
Estienne
sur 5 mars 2023 à 12h17
Angoissant ? Non, soleil, balade, amitié, nature … tout ce qu’il faut pour se ressourcer ! Et le soir un petit repas entre amis pour bien terminer la journée : franchement pas de place pour l’angoisse !
Estienne
sur 5 mars 2023 à 12h29
Et je retourne dans ce coin-là tout à l’heure ! J’aurai une pensée pour vous. Et peut-être quelques photos même si la météo n’est pas optimale : trop de soleil !
Matoufilou
sur 5 mars 2023 à 20h17
Estienne, pas d’angoisse pour qui connaît le contexte de la prise de vue et sait où mène ce chemin, mais ne trouves-tu pas que des gens qui s’éloignent de dos sont enfermés par la photo ? C’est un sentiment que j’éprouve toujours : le cadre se referme sur ceux qui s’en vont…
Estienne
sur 6 mars 2023 à 11h31
@ Matoufilou : Personnellement, un chemin me mène toujours quelque part et sur une image, ils s’en vont en s’amenuisant dans le lointain … je ne ressens pas ce sentiment d’angoisse … mais je me soigne, je me promène souvent en forêt et j’ai même quelques projets plus natures encore … à suivre
Matoufilou
sur 6 mars 2023 à 12h00
Après, se trouver enfermé dans une photo est une expérience intéressante, propice à histoires. C’est le cas ici, on peut imaginer plein de choses.
M.RVR
sur 6 mars 2023 à 18h01
« le cadre se referme sur ceux qui s’en vont… », à moins qu’en fait ils s’échappent du cadre ?
Estienne
sur 6 mars 2023 à 21h32
« Jumenji » : un jeu dans lequel on s’engloutit pour vivre des aventures folles ! Je n’ai pas ensorcelé mon image, les amis sont ressortis sans dommage de l’histoire !
Le soleil perce le sous bois, c’est très paisible et cela fait du bien.
MRVR
Et merci pour le clin d’oeil. Ces trois là font la paire (sic) avec les trois marcheuses de ma publication.
Contrepoint amusant effectivement à la photo d’RV. Environnement plus aéré, mais la problématique reste la même : des personnages pris de dos nécessairement s’éloignent et vont vers un ailleurs qui nous est inconnu. C’est ce qu’il y a d’angoissant et de beau dans ce genre de photo.
Merci pour la balade !
très belle image, bien dosée…. J’aime beaucoup la douceur qui s’en dégage.
Pour moi, rien d’angoissant, ils cheminent vers un ailleurs lumineux, plein de promesses
Angoissant ? Non, soleil, balade, amitié, nature … tout ce qu’il faut pour se ressourcer ! Et le soir un petit repas entre amis pour bien terminer la journée : franchement pas de place pour l’angoisse !
Et je retourne dans ce coin-là tout à l’heure ! J’aurai une pensée pour vous. Et peut-être quelques photos même si la météo n’est pas optimale : trop de soleil !
Estienne, pas d’angoisse pour qui connaît le contexte de la prise de vue et sait où mène ce chemin, mais ne trouves-tu pas que des gens qui s’éloignent de dos sont enfermés par la photo ? C’est un sentiment que j’éprouve toujours : le cadre se referme sur ceux qui s’en vont…
@ Matoufilou : Personnellement, un chemin me mène toujours quelque part et sur une image, ils s’en vont en s’amenuisant dans le lointain … je ne ressens pas ce sentiment d’angoisse … mais je me soigne, je me promène souvent en forêt et j’ai même quelques projets plus natures encore … à suivre
Après, se trouver enfermé dans une photo est une expérience intéressante, propice à histoires. C’est le cas ici, on peut imaginer plein de choses.
« le cadre se referme sur ceux qui s’en vont… », à moins qu’en fait ils s’échappent du cadre ?
« Jumenji » : un jeu dans lequel on s’engloutit pour vivre des aventures folles ! Je n’ai pas ensorcelé mon image, les amis sont ressortis sans dommage de l’histoire !