Il y en a bien trois superposées… qui tiennent ensemble grâce aux cadres, effectivement.
Brigitte David
sur 5 septembre 2020 à 7h02
Un mariage très dix neuvième siècle si l’on en juge par l’air romantique navré de l’homme et la modestie de la pause de la femme. D’une des femmes . Le tout renvoyé à la mise en scène hésitante de la situation suggérée par les propositions de cadrage. Le sujet semble inépuisable.
Audacieux télescopage!… la créature semble tenir grâce aux “prothèses” des cadres intégrés à l’image….
Beau travail de maquillage en tout cas.
Il y en a bien trois superposées… qui tiennent ensemble grâce aux cadres, effectivement.
Un mariage très dix neuvième siècle si l’on en juge par l’air romantique navré de l’homme et la modestie de la pause de la femme. D’une des femmes . Le tout renvoyé à la mise en scène hésitante de la situation suggérée par les propositions de cadrage. Le sujet semble inépuisable.
Voici donc le vrai visage du baron de Charlus…
La jeune fille en fleurs n’est pas très visible…
C’est pourtant elle qui donne son teint clair au baron.