Oui exquise banquise… Belle composition … Le plastic fait des miracles! J’ose à peine lire et mémoriser le nombre de tonnes de glaces qui vient de fondre l’autre jour. d’ailleurs je file chez Picard!
Monsieur HR
sur 6 août 2019 à 16h13
Ces banquises qui fondent, ça fait froid dans le dos !
jmlg
sur 6 août 2019 à 16h24
Bonjour,
Il est une facilité de langage qui consisterait à dire que nos deux personnages (3 avec le petit poisson) bullent sur la banquise…
S’il n’était cette dimension poétique, il n’en demeure pas moins que 8 à 12 millions de tonnes de matières plastiques finissent dans les océans chaque année (une paille ! si j’ose dire) tandis que la banquise fond à toute vitesse.
Estienne
sur 7 août 2019 à 21h31
Sale temps pour l’ours blanc ! Sale temps pour nous tous !
C’est une très jolie photo, comme un conte pour enfants. L’idée est poétique, mais je m’interroge sur le sens à donner à cet empilement. Une chaîne alimentaire ?
maria
sur 8 août 2019 à 10h05
Oui, Blagapart, pourquoi cet empilement ? Je ne le sais pas très bien moi-même. Pour montrer qu’il ne reste plus de place sur les glaces, alors quand on trouve un bout de rocher pour s’ y poser, on y reste …. Pour ne pas se noyer … Peut être aussi une espèce de solidarité entre l’ ours et le pélican…
Matoufilou
sur 8 août 2019 à 13h47
Le retour de Maria, la fée bricoleuse, super ! Par contre, glaçant…
Les victimes ne se découpent pas bien dans la masse du blanc (contraste très adouci), ou ils sont déjà en train de fondre ?
Exquise…
Oui exquise banquise… Belle composition … Le plastic fait des miracles! J’ose à peine lire et mémoriser le nombre de tonnes de glaces qui vient de fondre l’autre jour. d’ailleurs je file chez Picard!
Ces banquises qui fondent, ça fait froid dans le dos !
Bonjour,
Il est une facilité de langage qui consisterait à dire que nos deux personnages (3 avec le petit poisson) bullent sur la banquise…
S’il n’était cette dimension poétique, il n’en demeure pas moins que 8 à 12 millions de tonnes de matières plastiques finissent dans les océans chaque année (une paille ! si j’ose dire) tandis que la banquise fond à toute vitesse.
Sale temps pour l’ours blanc ! Sale temps pour nous tous !
C’est une très jolie photo, comme un conte pour enfants. L’idée est poétique, mais je m’interroge sur le sens à donner à cet empilement. Une chaîne alimentaire ?
Oui, Blagapart, pourquoi cet empilement ? Je ne le sais pas très bien moi-même. Pour montrer qu’il ne reste plus de place sur les glaces, alors quand on trouve un bout de rocher pour s’ y poser, on y reste …. Pour ne pas se noyer … Peut être aussi une espèce de solidarité entre l’ ours et le pélican…
Le retour de Maria, la fée bricoleuse, super ! Par contre, glaçant…
Les victimes ne se découpent pas bien dans la masse du blanc (contraste très adouci), ou ils sont déjà en train de fondre ?
@Matoufilou : ils ne se découpent pas bien parce qu’ils sont surgelés. C’est normal.
Y’a pas à dire, y sont forts chez Picard !!!