J’aime beaucoup à la fois le cadrage et la mise en scène.
Je suis gêné par contre par ces ongles de show girl, qui ne vont pas (je trouve) avec l’illusion de fragilité générée notamment par l’incarnation laiteuse de cette jeune femme.
J’ai le sentiment d’une Blanche Neige qui aurait les ongles de sa marâtre (ce qui en soi par ailleurs est une fameuse idée).
Le cadrage sort largement de la zone de confort, il offre à la fois des morceaux d’image qui captent l’attention et un ensemble assez confus.
brigitte david
sur 19 juin 2019 à 9h02
Un titre au parfum colonial… “J’étais dans les rizières!”…
Estienne
sur 19 juin 2019 à 9h05
Je n’ai pas regardé les ongles, j’ai juste suivi la geste des doigts qui capte un instant le regard avant de le laisser errer avec langueur sur le bas du visage et la douceur des seins … et un titre évocateur. Superbe !
J’aurai peut-être adouci le mur au dessus des épaules …
Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt. Je ne suis pas très malin.
Quelque chose de baroque dans la gestuelle, ce que Poussin appelait “le corps éloquent”
Ou le téton, ou les mains, mais les deux à la fois, je n’arrive plus à suivre. Très beau bas de visage bien rond, doux et narquois.
J. Fraipont : le rapprochement est osé !
J’aime beaucoup à la fois le cadrage et la mise en scène.
Je suis gêné par contre par ces ongles de show girl, qui ne vont pas (je trouve) avec l’illusion de fragilité générée notamment par l’incarnation laiteuse de cette jeune femme.
J’ai le sentiment d’une Blanche Neige qui aurait les ongles de sa marâtre (ce qui en soi par ailleurs est une fameuse idée).
Le cadrage sort largement de la zone de confort, il offre à la fois des morceaux d’image qui captent l’attention et un ensemble assez confus.
Un titre au parfum colonial… “J’étais dans les rizières!”…
Je n’ai pas regardé les ongles, j’ai juste suivi la geste des doigts qui capte un instant le regard avant de le laisser errer avec langueur sur le bas du visage et la douceur des seins … et un titre évocateur. Superbe !
J’aurai peut-être adouci le mur au dessus des épaules …