La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
5 Commentaires
Monsieur HR
sur 29 mars 2019 à 21h55
Punk de colère !
Matoufilou
sur 1 avril 2019 à 12h51
Peu de succès pour mon cliché.
La photo est loin d’être géniale, j’en conviens, et j’imagine volontiers ce qu’aurait pu en faire un Ben, qui fut spécialiste ici des friches urbaines, notamment rennaises, mais il y avait tout de même un petit sujet, entre tristesse et colère.
Matoufilou
sur 1 avril 2019 à 13h09
Pour faire davantage sens, je joins en complément deux photos prises sur place le même jour.
Cette friche alternative, elle n’est pas seulement terre de tristesse et de colère, elle est aussi terre de vie et de créativité. Et au bout du compte terre de poésie.
Estienne
sur 1 avril 2019 à 21h14
En matière de photo, je ne suis pas sûr que la première soit la meilleure des trois ! Elle aurait notamment besoin d’un redressement de la perspective …
Matoufilou
sur 3 avril 2019 à 20h45
L’idée, un peu foutraque c’est vrai, était de montrer, via cette drôle de perspective, qu’il y avait partout des graffs, de la superposition, de la réécriture…
Je viens de retourner voir les séries de Ben sur l’urbain, les friches urbaines, notamment la série des Urbex, et je me dis qu’il fait partie de tous ces gens qui ont marqué LVEG et qui manquent aujourd’hui.
Ces « peintures de guerre », un peu sommaires je le reconnais, elles ont été faites en pensant à lui.
Punk de colère !
Peu de succès pour mon cliché.
La photo est loin d’être géniale, j’en conviens, et j’imagine volontiers ce qu’aurait pu en faire un Ben, qui fut spécialiste ici des friches urbaines, notamment rennaises, mais il y avait tout de même un petit sujet, entre tristesse et colère.
Pour faire davantage sens, je joins en complément deux photos prises sur place le même jour.
Cette friche alternative, elle n’est pas seulement terre de tristesse et de colère, elle est aussi terre de vie et de créativité. Et au bout du compte terre de poésie.
En matière de photo, je ne suis pas sûr que la première soit la meilleure des trois ! Elle aurait notamment besoin d’un redressement de la perspective …
L’idée, un peu foutraque c’est vrai, était de montrer, via cette drôle de perspective, qu’il y avait partout des graffs, de la superposition, de la réécriture…
Je viens de retourner voir les séries de Ben sur l’urbain, les friches urbaines, notamment la série des Urbex, et je me dis qu’il fait partie de tous ces gens qui ont marqué LVEG et qui manquent aujourd’hui.
Ces « peintures de guerre », un peu sommaires je le reconnais, elles ont été faites en pensant à lui.