Apprenti en argentique avec ses labos rouges aux odeurs lourdes de leurs soupes chimiques avant d'évoluer vers le numérique et ses MégaOctets électroniques impalpables et inodores, depuis 50 ans mais toujours Photographe Amateur
6 Commentaires
Matoufilou
sur 7 mars 2019 à 17h27
Juste un peu de gène avec les deux barres du fond (et encore ne les ai-je vues qu’après coup). Sinon c’est très joli. Un vrai poème.
Matoufilou
sur 7 mars 2019 à 17h55
j’ai mis ma livrée de printemps
au ciel je vais avec le vent
le jour ne dure pas longtemps
et je profite de l’instant…
à moi le monde se réduit
mais déjà le jour est enfui
et le ciel encore si loin…
Merci, mais c’est le travail inspirant d’Estienne qu’on commente ici, pas le mien.
Estienne
sur 11 mars 2019 à 19h05
Une campanule fin juillet sur les alpages vers 1800 m d’altitude qui doucement se fane. La lumière était très belle ! Merci à tous de vos avis poétiques et délicats !
Juste un peu de gène avec les deux barres du fond (et encore ne les ai-je vues qu’après coup). Sinon c’est très joli. Un vrai poème.
j’ai mis ma livrée de printemps
au ciel je vais avec le vent
le jour ne dure pas longtemps
et je profite de l’instant…
à moi le monde se réduit
mais déjà le jour est enfui
et le ciel encore si loin…
me verras-tu toujours demain ?
Très délicat, bravo.
Aussi simple que cette fleur des champs !
Merci, mais c’est le travail inspirant d’Estienne qu’on commente ici, pas le mien.
Une campanule fin juillet sur les alpages vers 1800 m d’altitude qui doucement se fane. La lumière était très belle ! Merci à tous de vos avis poétiques et délicats !