Monsieur HR sur 8 janvier 2019 à 10h45 Je comprends mieux ce que tu entendais par détourer. Ici ça semble efficace. Mais si mon cendrier attirait trop l’attention dur ma publication précédente, n’en va t il pas de même avec la masse de rochers à la gueule ouverte et grimaçante sur la photo de gauche.
Matoufilou sur 8 janvier 2019 Ã 12h02 Ressemblance/dissemblance. C’est tout le potentiel du diptyque.
Jean Fraipont sur 8 janvier 2019 à 12h45 Moins convaincu ici, peut-être à cause de la paréidolie à gauche ou des trois ronds plus sombres à droite qui, du coup, me font penser à des taches sur le capteur. Par contre, en tant qu’habitant des brumes du Nord, j’apprécie les gris.
Estienne sur 8 janvier 2019 à 14h26 D’accord avec Jean : des taches sur le capteur qui, ici, nous sautent à la figure !
Matoufilou sur 8 janvier 2019 à 15h28 C’est un grain, il pleut, il y a du vent, l’écume vole, il a fallu 10′ de nettoyage minutieux derrière pour nettoyer le sel… Ce sont précisément ces taches qui m’ont intéressé, et qui disent cet extrême des conditions de la prise de vue. Quant au monstre surgissant de la brume, je trouvais qu’il allait bien avec ces taches et ces conditions extrêmes. D’où le diptyque… Prises séparément, ces photos n’ont pas un intérêt majeur, vous le soulignez bien et j’en conviens. Assemblées, elles se justifient l’une l’autre, s’appuient, se confortent. Enfin, me semblait-il. C’est tout l’objet de cette réflexion entamée sur le “plié en deux”.
Jean Fraipont sur 8 janvier 2019 à 16h07 Il faut tout de même souligner qu’il y a un dialogue très net entre les deux photos et je suis peut-être resté en deçà de ce qu’il y a à voir! C’est loin d’être évident à faire et je m’y attelle sans aucun résultat pour l’instant !!
Matoufilou sur 8 janvier 2019 à 17h32 @ Monsieur HR : = diptyque (sens littéral, du grec diptukhos, “plié en deux”). @ Jean : diptyque ou triptyque = “(…) sujet difficile car trouver le savant déséquilibre qui doit présider à cet exercice est une science inexacte où le ressenti est matière importante et donc éminemment volatil.” (Estienne, hier, commentant Les phares).
Matoufilou sur 8 janvier 2019 à 17h36 Le grain, à droite, donne son sens à la vue gauche. De la tempête naît le monstre. De la rupture dans la mesure naît la démesure. C’est du moins ma lecture.
Matoufilou sur 8 janvier 2019 Ã 17h38 Puis vous connaissez l’adage : “Qui voit Ouessant voit son sang…” Ce sont des taches de sang !!!
Henri sur 8 janvier 2019 à 19h20 Assez d’accord avec Jean et Etienne, surtout pour les taches noires , qui a la lecture n’évoquent pas vraiment cette tempête.
Matoufilou sur 9 janvier 2019 à 16h26 Bien noté le scepticisme ambiant… Je ne veux pas non plus me décourager trop vite et vais vous proposer d’autres combinaisons dans les temps qui viennent.
Je comprends mieux ce que tu entendais par détourer. Ici ça semble efficace.
Mais si mon cendrier attirait trop l’attention dur ma publication précédente, n’en va t il pas de même avec la masse de rochers à la gueule ouverte et grimaçante sur la photo de gauche.
Ressemblance/dissemblance. C’est tout le potentiel du diptyque.
Moins convaincu ici, peut-être à cause de la paréidolie à gauche ou des trois ronds plus sombres à droite qui, du coup, me font penser à des taches sur le capteur. Par contre, en tant qu’habitant des brumes du Nord, j’apprécie les gris.
D’accord avec Jean : des taches sur le capteur qui, ici, nous sautent à la figure !
C’est un grain, il pleut, il y a du vent, l’écume vole, il a fallu 10′ de nettoyage minutieux derrière pour nettoyer le sel… Ce sont précisément ces taches qui m’ont intéressé, et qui disent cet extrême des conditions de la prise de vue.
Quant au monstre surgissant de la brume, je trouvais qu’il allait bien avec ces taches et ces conditions extrêmes.
D’où le diptyque… Prises séparément, ces photos n’ont pas un intérêt majeur, vous le soulignez bien et j’en conviens. Assemblées, elles se justifient l’une l’autre, s’appuient, se confortent. Enfin, me semblait-il.
C’est tout l’objet de cette réflexion entamée sur le “plié en deux”.
Qu’est ce que tu entends par plié en2 ?
Il faut tout de même souligner qu’il y a un dialogue très net entre les deux photos et je suis peut-être resté en deçà de ce qu’il y a à voir! C’est loin d’être évident à faire et je m’y attelle sans aucun résultat pour l’instant !!
@ Monsieur HR : = diptyque (sens littéral, du grec diptukhos, “plié en deux”).
@ Jean : diptyque ou triptyque = “(…) sujet difficile car trouver le savant déséquilibre qui doit présider à cet exercice est une science inexacte où le ressenti est matière importante et donc éminemment volatil.” (Estienne, hier, commentant Les phares).
Le grain, à droite, donne son sens à la vue gauche. De la tempête naît le monstre. De la rupture dans la mesure naît la démesure. C’est du moins ma lecture.
Puis vous connaissez l’adage : “Qui voit Ouessant voit son sang…” Ce sont des taches de sang !!!
Assez d’accord avec Jean et Etienne, surtout pour les taches noires , qui a la lecture n’évoquent pas vraiment cette tempête.
Bien noté le scepticisme ambiant… Je ne veux pas non plus me décourager trop vite et vais vous proposer d’autres combinaisons dans les temps qui viennent.