14 Commentaires
  1. Je prĂ©fère nettement celle-ci Ă  la photo du 6 septembre. Le cadrage est pertinent. MĂªme si je trouve qu’elle aurait gagnĂ© Ă  un contraste plus fort. Perdrait-on la douceur avec des lignes plus dures ? Je demande Ă  voir.

  2. … plutĂ´t fine …

  3. le titre dit l’intention mais l’image aurait peut-Ăªtre besoin d’un peu plus de contraste pour la souligner, en particulier sur la frange d’Ă©cume…

  4. Evidemment elle n’est pas franchement contrastĂ©e, mais de toutes façons vous seriez passĂ©s sans voir cette dentelle de caraco…
    J’aurais bien soulignĂ© la frange d’Ă©cume, l’ourlet… mais dès que le sable s’assombrit ça devient autre chose. La version couleur me plait. Je crois que je suis passĂ©e Ă  la couleur cet Ă©tĂ©…

    Merci Ă  vous 3!

  5. Bonsoir,

    Ben moi, je prĂ©fère “la reine de la dentelle”, Ă  savoir celle d’Alençon… EpicĂ©tou…

  6. Ah, la fameuse mise au point d’Alençon ! ?

  7. Et ben moi, je prĂ©fère “l’impĂ©ratrice de la dentelle” Ă  savoir la dentelle du Puy … EpicĂ©tou…

  8. Je suis nĂ© Ă  Alençon et j’ai vĂ©cu au Puy : les deux sont magnifiques !

  9. Je ris … !

  10. Bonsoir,

    Je ne vois trace d’aucune impĂ©ratrice au Puy sauf Ă  considĂ©rer l’omnipotence du prĂ©sident de la rĂ©gion “Auvergne-RhĂ´ne-Alpes”, un certain Laurent 1er…

    Par contre, Alençon a vu passer une future impĂ©ratrice, Sophie-Charlotte en Bavière…

    J’en sais quelque chose, je suis nĂ© dans la capitale mondiale du boudin noir, Ă  savoir Mortagne au Perche…

    Et que j’espère que ça vous en bouche un coin…

  11. Ă  JMLG
    Si,si,si … Nous avons notre impĂ©ratrice au Puy, elle domine la ville. JuchĂ©e sur un rocher volcanique et construite avec la fonte de fer des canons pris lors du siège de SĂ©bastopol en 1860.
    Non mais !

  12. Mortagne au Perche , on se rapproche de la capitale mondiale du poiré !

  13. Laissons Ă  Louis -Ferdinand CĂ©line le soin de clore ce sujet passionnant de la dentelle: ”
    “Oh, je n’ai pas besoin d’essayer dâ€™Ăªtre lĂ©ger. […] je suis un des rares hommes Ă  savoir diffĂ©rencier la batiste de la valenciennes, la valenciennes du Bruges, le Bruges de l’Alençon. Je connais très bien les finesses. Très très bien. Je n’ai pas besoin dâ€™Ăªtre Ă©duquĂ©. […] Mais pour Ăªtre expert en ceci il faut s’en occuper. C’est dans son laboratoire intime qu’on s’occupe de ces choses-lĂ .”

  14. Alors, si CĂ©line clĂ´t le sujet, respect… Lui qui n’a pas toujours fait dans le dentelle justement…

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