« Il s'agit de trouver quelque chose d'intéressant dans un endroit ordinaire... Cela n'a pas grand-chose à voir avec les choses que vous voyez, mais cela a tout à voir avec la façon dont vous les voyez. »
Elliott ERWITT
13 Commentaires
jmlg
sur 21 septembre 2017 à 14h46
Après la corvée de vaisselle, la corvée de linge… Les journées sont fatigantes…
Mathias Caumont
sur 21 septembre 2017 à 14h54
Belle composition, et très jolie lumière, j’aime.
Estienne
sur 22 septembre 2017 à 8h17
Un cadrage moins rigoureux que d’habitude mais une très belle lumière qui accroche les vêtements du fil supérieur. Le jeu de cette courbe dans un univers d’angles droits est très intéressant.
Monsieur HR
sur 22 septembre 2017 à 8h27
Maria, Maria… c’est west side story !
Très belle composition, effectivement et un vraie force d’évocation.
jmlg
sur 22 septembre 2017 à 8h54
Une évocation de la Madone plus académique et classique… Mais à y regarder d’un peu plus près, j’y vois cette même « dimension cachée » qui consiste à reléguer le rôle de la femme à celui « d’exécutrice » des tâches domestiques. Ici, elle étend le linge. Précédemment, elle arrose le potager…
Et ce faisant, Monsieur photographie Madame tout en sirotant un peu d’érable ou bien quelques centilitres d’absinthe… Voui, voui, voui !!!
brigitte david
sur 22 septembre 2017 à 9h13
Intemporelle… et pourtant d’une autre époque! Une madone de la vie quotidienne entre voiles et linges . Entre transcendance et trivialité! Bravo!
ps. Superbe dessin triangulaire de la lumière!
maria
sur 22 septembre 2017 à 11h16
« Le plan large » donne une certaine froideur à la photo. Notre Maria, j’ aurais quand même aimé la voir plus présente, plus « humaine », plus « touchable » et que nous partagions notre émotion grâce à elle.
Là, la jeune femme fait partie du paysage; cela dit, c’ est une photo sur laquelle on revient.
maria
sur 22 septembre 2017 à 11h29
… »touchable » visuellement, plus présente à nos yeux.
Mais c’ aurait été une autre photo.
Merci pour vos commentaires !
@JMLG : mais pas du tout, elle prend sa robe pour « aller à la chasse aux papillons ».
@Maria : assez d’accord, on est loin du portrait ici.
Estienne
sur 22 septembre 2017 à 15h43
Je suis prêt à lui jouer l’ami Georges …
Monsieur HR
sur 23 septembre 2017 à 8h59
… et son époux est peut être représentant en paratonnerres ?
Après la corvée de vaisselle, la corvée de linge… Les journées sont fatigantes…
Belle composition, et très jolie lumière, j’aime.
Un cadrage moins rigoureux que d’habitude mais une très belle lumière qui accroche les vêtements du fil supérieur. Le jeu de cette courbe dans un univers d’angles droits est très intéressant.
Maria, Maria… c’est west side story !
Très belle composition, effectivement et un vraie force d’évocation.
Une évocation de la Madone plus académique et classique… Mais à y regarder d’un peu plus près, j’y vois cette même « dimension cachée » qui consiste à reléguer le rôle de la femme à celui « d’exécutrice » des tâches domestiques. Ici, elle étend le linge. Précédemment, elle arrose le potager…
Et ce faisant, Monsieur photographie Madame tout en sirotant un peu d’érable ou bien quelques centilitres d’absinthe… Voui, voui, voui !!!
Intemporelle… et pourtant d’une autre époque! Une madone de la vie quotidienne entre voiles et linges . Entre transcendance et trivialité! Bravo!
ps. Superbe dessin triangulaire de la lumière!
« Le plan large » donne une certaine froideur à la photo. Notre Maria, j’ aurais quand même aimé la voir plus présente, plus « humaine », plus « touchable » et que nous partagions notre émotion grâce à elle.
Là, la jeune femme fait partie du paysage; cela dit, c’ est une photo sur laquelle on revient.
… »touchable » visuellement, plus présente à nos yeux.
Mais c’ aurait été une autre photo.
Merci pour vos commentaires !
@JMLG : mais pas du tout, elle prend sa robe pour « aller à la chasse aux papillons ».
@Maria : assez d’accord, on est loin du portrait ici.
Je suis prêt à lui jouer l’ami Georges …
… et son époux est peut être représentant en paratonnerres ?
J’aime beaucoup cette lumière rasante qui accompagne le regard du personnage et nous invite vers la gauche, hors champ.
… et j’aime beaucoup aussi la version couleur (que je découvre à l’instant), avec, en prime, les rappels de couleur des tissus.