brigitte david sur 25 juin 2017 à 9h33 La joie de vivre désertée… Quel scandale! Mais ça fait une belle photo…
Estienne sur 26 juin 2017 à 13h47 Avant ou après les vacances, quand tout le monde est parti, quand seul le vent courre sur le sable … une image nostalgique dont l’ambiance est renforcée par cette belle palette de gris. Une belle photo même si ce n’est pas ma préférée …
Jean Fraipont sur 27 juin 2017 à 0h24 Très belle opposition entre la “joie de vivre” et le vide sidéral qui entoure la scène!
Monsieur HR sur 27 juin 2017 à 15h46 C’est peut être déplacé, mais cette devise de ferraille me fait penser au “Arbeit macht frei” que l’on pouvait voir à l’entrée des camps.
Jean Fraipont sur 27 juin 2017 à 22h54 @Monsieur HR : je me suis fait la même réflexion. Avec, ici, évidemment, le cynisme en moins.
Grains de sel sur 28 juin 2017 à 14h54 Ce n’est pas vraiment du cynisme (si c’en est ce n’est pas du tout le même degré…) mais je dois avouer que c’est bien le contraste entre ce temps déprimant à souhait et cette inscription qui m’a poussé à déclencher. La même enseigne par beau temps et je pense que je ne me serai même pas arrêté… Je l’ai faite également en couleur mais elle n’est pas encore développée et ce n’est pas l’endroit pour la partager 🙂
Monsieur HR sur 28 juin 2017 à 21h35 En fait , je crois que ce qui a fait que JF et moi partagions cette même impression, c’est la force de l’image d’origine que “Joie de vivre” a réveillé de manière inconsciente. Ça en dit long sur le pouvoir des images .
L’hygiénisme ne semble plus faire recette.
Cela dépend de la météo 🙂
La joie de vivre désertée… Quel scandale! Mais ça fait une belle photo…
Avant ou après les vacances, quand tout le monde est parti, quand seul le vent courre sur le sable … une image nostalgique dont l’ambiance est renforcée par cette belle palette de gris. Une belle photo même si ce n’est pas ma préférée …
Très belle opposition entre la “joie de vivre” et le vide sidéral qui entoure la scène!
C’est peut être déplacé, mais cette devise de ferraille me fait penser au “Arbeit macht frei” que l’on pouvait voir à l’entrée des camps.
@Monsieur HR : je me suis fait la même réflexion. Avec, ici, évidemment, le cynisme en moins.
Ce n’est pas vraiment du cynisme (si c’en est ce n’est pas du tout le même degré…) mais je dois avouer que c’est bien le contraste entre ce temps déprimant à souhait et cette inscription qui m’a poussé à déclencher. La même enseigne par beau temps et je pense que je ne me serai même pas arrêté…
Je l’ai faite également en couleur mais elle n’est pas encore développée et ce n’est pas l’endroit pour la partager 🙂
En fait , je crois que ce qui a fait que JF et moi partagions cette même impression, c’est la force de l’image d’origine que “Joie de vivre” a réveillé de manière inconsciente. Ça en dit long sur le pouvoir des images .