Jean Fraipont sur 16 novembre 2016 à 21h32 L’impression de voir deux photos qui ne se mélangent pas bien. L’une est le pignon au cycliste, avec un passant dans le bas, l’autre est le graphisme fort du passage pour piétons, avec un piéton qui traverse. Et je n’arrive pas à ne voir qu’une photo.
François Cardi sur 18 novembre 2016 à 18h21 C’est peut-être ça la magie de Buenos Aires: la capacité de faire voir une chose et une autre sans d’autre lien que le regard du photographe.
Monsieur HR sur 18 novembre 2016 à 18h59 Comment ça, il n’y a pas de montage ? On voit bien que la photo ne tient qu’à un fil accroché au coin droit du cadre !
Ben sur 21 novembre 2016 à 9h10 @Mr HR: je suis démasqué! 😉 @François: J’espère réussir à le faire ailleurs qu’à Buenos Aires! 😉
Estienne sur 21 novembre 2016 à 17h50 J’aime bien celle-ci, moins la seconde effectivement trop confuse aussi pour moi. La composition utilisant ce large passage piéton comme avant-plan ainsi que les deux petits nuages mis à sécher sur le fil pour couronner l’ensemble me plaisent beaucoup !
L’impression de voir deux photos qui ne se mélangent pas bien. L’une est le pignon au cycliste, avec un passant dans le bas, l’autre est le graphisme fort du passage pour piétons, avec un piéton qui traverse. Et je n’arrive pas à ne voir qu’une photo.
Et pourtant aucun montage! 😉
C’est peut-être ça la magie de Buenos Aires: la capacité de faire voir une chose et une autre sans d’autre lien que le regard du photographe.
Comment ça, il n’y a pas de montage ?
On voit bien que la photo ne tient qu’à un fil accroché au coin droit du cadre !
@Mr HR: je suis démasqué! 😉
@François: J’espère réussir à le faire ailleurs qu’à Buenos Aires! 😉
J’aime bien celle-ci, moins la seconde effectivement trop confuse aussi pour moi. La composition utilisant ce large passage piéton comme avant-plan ainsi que les deux petits nuages mis à sécher sur le fil pour couronner l’ensemble me plaisent beaucoup !
Merci Estienne!