« à vendre petit pavillon de banlieue à l’abri des orages et des frais de couverture … et du soleil aussi »
Incroyable ! Il avait un lopin de terre pour y batir le rêve de sa vie, il avait oublié d’acheter le coin de ciel correspondant. Je crois que je l’aurai cadré en vertical pour mieux avoir le pavillon et « son » toit de béton …
Asphyxiant! c’est bien le terme qui convient. J’ai en effet cherché les moyens pour ne pas voir de ciel en dehors du reflet dans les fenêtres. Je n’ai pas su si ces maisons étaient habitées ou pas! Merci pour vos autres avis de cadrages qui sont d’autres images dans celle-ci. Pour ma part je tenais à la perspective, et à l’étendue de ce couvercle oppressant. Je ne parcours que très ponctuellement ces réalités urbaines que je trouve parfois assez sidérantes: un peu plus loin, toujours sous l’autoroute, il y a même une boulangerie!
Le ciel leur est tombé sur la tête?!
Je trouve la partie de gauche en trop.
Pourquoi pas un carré en gardant la partie de droite?
On est bien, à l’abri
« à vendre petit pavillon de banlieue à l’abri des orages et des frais de couverture … et du soleil aussi »
Incroyable ! Il avait un lopin de terre pour y batir le rêve de sa vie, il avait oublié d’acheter le coin de ciel correspondant. Je crois que je l’aurai cadré en vertical pour mieux avoir le pavillon et « son » toit de béton …
Inouïe en effet, bien immortalisé. J’apprécie les fuyantes de béton en haut de l’image et ce cadrage asphyxiant.
Impressionnant !
Asphyxiant! c’est bien le terme qui convient. J’ai en effet cherché les moyens pour ne pas voir de ciel en dehors du reflet dans les fenêtres. Je n’ai pas su si ces maisons étaient habitées ou pas! Merci pour vos autres avis de cadrages qui sont d’autres images dans celle-ci. Pour ma part je tenais à la perspective, et à l’étendue de ce couvercle oppressant. Je ne parcours que très ponctuellement ces réalités urbaines que je trouve parfois assez sidérantes: un peu plus loin, toujours sous l’autoroute, il y a même une boulangerie!