JLB sur 24 novembre 2015 Ă 18h03 Devant tous les constituants de ce dĂ©cor, on cherche Ă imaginer les existences qui ont, un jour, animĂ© cette pièce. Le temps suspendu des calendriers, de l’horloge vidĂ©e de ses mĂ©canismes, des matières usĂ©es, rejoignent vos prĂ©cĂ©dentes publications dans cette sĂ©rie; Plus Ă©nigmatiques, les Ă©lĂ©ments rassemblĂ©s sur la table qui monopolisent l’attention dans un second temps: seringues, affichette, et quelque chose qui Ă©voque une balle (?); presque une histoire qui reste Ă reconstituer ou Ă inventer!
adrien pairraud sur 24 novembre 2015 Ă 20h58 la prĂ©cĂ©dente Ă©tait du registre du sordide, lĂ on plonge dans le lugubre … ça sent le roman noir poisseux. une merveille !
Estienne sur 25 novembre 2015 Ă 8h58 Toute cette douceur pour un roman noir ! Comme le dĂ©taille JLB, on a un peu l’impression avec celle-ci d’arriver sur une scène de crime. Que s’est-il passĂ© ici ? Un dĂ©cor lugubre et Ă©tonnant en l’Ă©tat.
maria sur 25 novembre 2015 Ă 9h21 Oui, tu continues lĂ une belle sĂ©rie. Pleins d’ histoires dans tes photos.
Globelus sur 25 novembre 2015 Ă 13h51 On pourrait “Ă©plucher” l’histoire de ce lieu par couches, comme un oignon : seringues d’aujourd’hui, fauteuil des annĂ©es 70, cuisinière des annĂ©es 50, horloge 19ème, batisse 18ème (?), etc. Sans parler des couches de papier-peints… Une vraie machine Ă voyager dans le temps !
Jean Fraipont sur 25 novembre 2015 Ă 16h43 Cela fait penser Ă une maison de petit vieux laissĂ©e Ă l’abandon et squattĂ©e plus rĂ©cemment. Les seringues ont l’air rĂ©centes (fameux calibre : abandonnĂ©e par un vĂ©tĂ©rinaire ?) et les traces dans la poussière montrent que des objets ont Ă©tĂ© retirĂ©s. L’enquĂªte avance et les histoires se multiplient ! Et le papier, on peut savoir ce qui Ă©tait Ă©crit dessus ? (Lync night ?)
Grains de sel sur 26 novembre 2015 Ă 16h39 Merci Ă tous pour vos retours et l’intĂ©rĂªt que vous portez Ă la sĂ©rie ! @JLB, c’est bien une balle qui traĂ®ne sur la table. @Jean : les seringues devaient servir pour soigner les bĂªtes, il y avait une plus grosse Ă terre Ă cĂ´tĂ©. Sur le papier il est inscrit “Repas dansant, salle des fĂªtes de… samedi 4 avril 1998” đŸ™‚ A suivre donc.
Devant tous les constituants de ce dĂ©cor, on cherche Ă imaginer les existences qui ont, un jour, animĂ© cette pièce. Le temps suspendu des calendriers, de l’horloge vidĂ©e de ses mĂ©canismes, des matières usĂ©es, rejoignent vos prĂ©cĂ©dentes publications dans cette sĂ©rie; Plus Ă©nigmatiques, les Ă©lĂ©ments rassemblĂ©s sur la table qui monopolisent l’attention dans un second temps: seringues, affichette, et quelque chose qui Ă©voque une balle (?); presque une histoire qui reste Ă reconstituer ou Ă inventer!
la prĂ©cĂ©dente Ă©tait du registre du sordide, lĂ on plonge dans le lugubre … ça sent le roman noir poisseux. une merveille !
Toute cette douceur pour un roman noir ! Comme le dĂ©taille JLB, on a un peu l’impression avec celle-ci d’arriver sur une scène de crime. Que s’est-il passĂ© ici ? Un dĂ©cor lugubre et Ă©tonnant en l’Ă©tat.
Oui, tu continues lĂ une belle sĂ©rie. Pleins d’ histoires dans tes photos.
On pourrait “Ă©plucher” l’histoire de ce lieu par couches, comme un oignon : seringues d’aujourd’hui, fauteuil des annĂ©es 70, cuisinière des annĂ©es 50, horloge 19ème, batisse 18ème (?), etc. Sans parler des couches de papier-peints… Une vraie machine Ă voyager dans le temps !
Cela fait penser Ă une maison de petit vieux laissĂ©e Ă l’abandon et squattĂ©e plus rĂ©cemment. Les seringues ont l’air rĂ©centes (fameux calibre : abandonnĂ©e par un vĂ©tĂ©rinaire ?) et les traces dans la poussière montrent que des objets ont Ă©tĂ© retirĂ©s. L’enquĂªte avance et les histoires se multiplient ! Et le papier, on peut savoir ce qui Ă©tait Ă©crit dessus ? (Lync night ?)
VoilĂ oĂ¹ ça mène, la dope ! Qu’on se le dise.
Merci Ă tous pour vos retours et l’intĂ©rĂªt que vous portez Ă la sĂ©rie !
@JLB, c’est bien une balle qui traĂ®ne sur la table.
@Jean : les seringues devaient servir pour soigner les bĂªtes, il y avait une plus grosse Ă terre Ă cĂ´tĂ©. Sur le papier il est inscrit “Repas dansant, salle des fĂªtes de… samedi 4 avril 1998” đŸ™‚
A suivre donc.