… comme cette centrale nucléaire collée aux cyprès d’un village provençal…
Et ces arbres couchés, brulés, dans la tempête. Avec ce virage qui immobilise le temps. Passé. Définitivement.
Henri
sur 21 novembre 2015 à 9h05
Superbe mouvement, qui évoque la furie des éléments,et nous emmène doucement vers cette trouée pour découvrir cette « ile des morts » .
Superbe!
Une image qui « résonne » par rapport à l’ambiance du moment. La végétation garde les traces d’un vécu agité, la trouée en bas à droite débouche sur l’inéluctable. Mais la série de Böcklin m’a toujours parue apaisante dans sa manière d’associer l’eau, la pierre et le végétal.
des détails forts…
… comme cette centrale nucléaire collée aux cyprès d’un village provençal…
Et ces arbres couchés, brulés, dans la tempête. Avec ce virage qui immobilise le temps. Passé. Définitivement.
Superbe mouvement, qui évoque la furie des éléments,et nous emmène doucement vers cette trouée pour découvrir cette « ile des morts » .
Superbe!
La brèche en bas à droite nous emmène effectivement vers la Provence. J’aime beaucoup le détail de la structure du pin central en coupe !
Une image qui « résonne » par rapport à l’ambiance du moment. La végétation garde les traces d’un vécu agité, la trouée en bas à droite débouche sur l’inéluctable. Mais la série de Böcklin m’a toujours parue apaisante dans sa manière d’associer l’eau, la pierre et le végétal.
Merci à tous pour vos riches “lectures” de cette image.
Une image peut-être plus lisible ici.
pas du tout adepte du virage mais pour le reste une très belle composition, l’ouverture à droite confère son mystère à la scène.