adrien pairraud sur 6 avril 2015 à 20h57 joli moment de médiation face à la lagune. le point de vue est original et le traitement dans ces tonalités claires confère à l’ensemble une douce sérénité.
Estienne sur 7 avril 2015 à 8h15 Cette ville sur l’eau est fascinante ! On ne peut pas partout s’asseoir ainsi au bord du trottoir … Le clapotis, le miroir changeant, le parfum d’iode (et d’autres) propices aux rêveries. J’aurai un peu accentué l’image …
nitrees sur 7 avril 2015 à 15h28 “Mais pas le bout du voyage …” mais peut être que si! au bout du ponton, on se laisse glisser dans l’eau et on s’engourdit pour retrouver un “autre monde” qui sait?
martinne sur 7 avril 2015 à 17h05 Merci de votre passage, Estienne quand tu écris “accentué” tu penses au contraste ? à la netteté ? … nitrees, mélancolique ? je ne pensais pas à cette fin là ! j’aurais aimé que le titre donne l’idée de rêverie, de douceur mais j’ai été en panne d’inspiration !!
Estienne sur 8 avril 2015 à 7h53 “assombri” l’image : c’est vrai que je n’ai pas été très explicite !
martinne sur 8 avril 2015 à 12h30 joli titre Monsieur HR ! Estienne, j’avais essayé aussi … et hésité.
Tristan. sur 8 avril 2015 à 18h56 Le ponton, dans toutes ses variantes, fait partie de l’arsenal du photographe amateur (si vous savez pourquoi…). Mais en laissant cela de côté, je trouve que la barrière métallique dénote, et nuit à la photo. Je pense qu’il aurait fallu s’avancer.
martinne sur 9 avril 2015 à 11h58 en m’avançant je renonçais à la perspective…finalement, c’est impressionnant le nombre de choix que le photographe amateur doit faire ! autant de photos qu’il reste à réaliser ? et, c’est vrai, le ponton fait partie de notre inconscient collectif, une sorte de fantasme que l’on réalise avec un certain plaisir.
Tristan. sur 9 avril 2015 à 17h19 Dans les choix possibles, il y a aussi renoncer à prendre la photo (même si le numérique ne coûte rien) 🙂 On est souvent confronté à des situations où des éléments “pas souhaitables” refusent de sortir du cadre, quelque soit la position ou l’angle que l’on prend. Personnellement, de plus en plus, je renonce à la photo, où je cherche une autre idée à partir de ce qui m’a attiré au départ. Après, ça vient ou ça ne vient pas… 😉
joli moment de médiation face à la lagune.
le point de vue est original et le traitement dans ces tonalités claires confère à l’ensemble une douce sérénité.
Mais pas le bout du voyage …
Cette ville sur l’eau est fascinante ! On ne peut pas partout s’asseoir ainsi au bord du trottoir … Le clapotis, le miroir changeant, le parfum d’iode (et d’autres) propices aux rêveries.
J’aurai un peu accentué l’image …
“Mais pas le bout du voyage …”
mais peut être que si!
au bout du ponton, on se laisse glisser dans l’eau et on s’engourdit pour retrouver un “autre monde”
qui sait?
Merci de votre passage,
Estienne quand tu écris “accentué” tu penses au contraste ? à la netteté ? …
nitrees, mélancolique ? je ne pensais pas à cette fin là ! j’aurais aimé que le titre donne l’idée de rêverie, de douceur mais j’ai été en panne d’inspiration !!
Pour moi, ce serait la passagère de la lagune.
“assombri” l’image : c’est vrai que je n’ai pas été très explicite !
joli titre Monsieur HR !
Estienne, j’avais essayé aussi … et hésité.
Le ponton, dans toutes ses variantes, fait partie de l’arsenal du photographe amateur (si vous savez pourquoi…). Mais en laissant cela de côté, je trouve que la barrière métallique dénote, et nuit à la photo. Je pense qu’il aurait fallu s’avancer.
en m’avançant je renonçais à la perspective…finalement, c’est impressionnant le nombre de choix que le photographe amateur doit faire ! autant de photos qu’il reste à réaliser ? et, c’est vrai, le ponton fait partie de notre inconscient collectif, une sorte de fantasme que l’on réalise avec un certain plaisir.
Dans les choix possibles, il y a aussi renoncer à prendre la photo (même si le numérique ne coûte rien) 🙂 On est souvent confronté à des situations où des éléments “pas souhaitables” refusent de sortir du cadre, quelque soit la position ou l’angle que l’on prend. Personnellement, de plus en plus, je renonce à la photo, où je cherche une autre idée à partir de ce qui m’a attiré au départ. Après, ça vient ou ça ne vient pas… 😉