sistereden sur 6 septembre 2008 à 10h19 La vigueur du geste est bien rendue. J’aime les observer moi aussi, les dhobis, à Bénarès ou ailleurs. J’aimerais beaucoup les voir à Mumbai.
Dimitri sur 8 septembre 2008 à 19h17 Lors de mon voyage en Inde, j’ai dû me concentrer sur le Rajasthan (après mon passage à Bénarès), mais effectivement Mumbai fera partie des villes que je visiterai si j’y retourne (vraiment trop grand ce pays)
flo g sur 12 septembre 2008 à 3h04 dimitri, c’est vrai que le geste est interessant, mais je n’arrive pas à comprendre le cadrage, où , l’arriere plan, c.a.d le bateau occupe une place visuelle trop importante, et le ” lavandier”, se retrouve coincé entre le bord inferieur du cadre, et le bateau..un peu à l’étroit.. qu’en penses tu ?
Dimitri sur 15 septembre 2008 à 17h25 Je n’avais pas vu la photo “sous cet angle”… mais effectivement ce lavandier a peu d’espace pour “vivre”. Pourtant, sur le coup, je trouvais que cette barque donnait un élément de contexte. Afin de montrer qu’il n’est pas seul au milieu de nul part, mais dans un vrai espace de “vie commune” pour les indiens. Entourés de pêcheurs (d’où le bateau), de promeneurs, de vendeurs à la sauvette… Toutefois, j’essaierai de mon souvenir de ton commentaire la prochaine fois 🙂
La vigueur du geste est bien rendue. J’aime les observer moi aussi, les dhobis, à Bénarès ou ailleurs. J’aimerais beaucoup les voir à Mumbai.
Lors de mon voyage en Inde, j’ai dû me concentrer sur le Rajasthan (après mon passage à Bénarès), mais effectivement Mumbai fera partie des villes que je visiterai si j’y retourne (vraiment trop grand ce pays)
dimitri, c’est vrai que le geste est interessant, mais je n’arrive pas à comprendre le cadrage, où , l’arriere plan, c.a.d le bateau occupe une place visuelle trop importante, et le ” lavandier”, se retrouve coincé entre le bord inferieur du cadre, et le bateau..un peu à l’étroit.. qu’en penses tu ?
Je n’avais pas vu la photo “sous cet angle”… mais effectivement ce lavandier a peu d’espace pour “vivre”. Pourtant, sur le coup, je trouvais que cette barque donnait un élément de contexte. Afin de montrer qu’il n’est pas seul au milieu de nul part, mais dans un vrai espace de “vie commune” pour les indiens. Entourés de pêcheurs (d’où le bateau), de promeneurs, de vendeurs à la sauvette…
Toutefois, j’essaierai de mon souvenir de ton commentaire la prochaine fois 🙂