Estienne sur 9 mars 2013 à 14h53 Et pour cette transmutation, l’oisillon s’est glissé dans l’antre du dragon ! J’aime beaucoup ce mur roussi par l’animal, je l’aurai peut-être mis plus en valeur encore en relèguant l’oisillon au tiers inférieur droit. Malgré cela, une très belle image !
cormac sur 9 mars 2013 à 18h57 Normalement je suis pas hyper enthousiasmé par tes images la Marquise, mais là je peux juste dire chapeau bas mademoiselle, une très très belle image! Y’a un rapport entre l’immense et le minuscule qui est très bien vu. Et le vers est très beau aussi.
Loïs sur 9 mars 2013 à 21h03 Un carré avec la partie gauche aurait ma préférence. “aber diese langen Mauern eilen so schnell aufeinander zu, daß ich schon im letzten Zimmer bin
Estienne sur 9 mars 2013 à 21h16 @ Loïs : J’ai peur que la langue de Goethe ne soit pas aussi bien partagé par tous et je ne fais moi même que deviner le sens … alors bitte, une traduction !
Loïs sur 9 mars 2013 à 21h39 @ Estienne: bien volontiers; “mais ces longs murs se rapprochent si rapidement que je suis déjà dans la dernière pièce”. Extrait de Kleine Fabel, Franz Kafka.
Bernard Lvq sur 9 mars 2013 à 22h20 La disproportion, le volume de l’antre et la fragilité de l’oisillon sont parfaitement gérés. L’écrasement est palpable, mais l’on ne sent pas encore ce que le sous-titre annonce … celui-ci me plaît énormément et illumine cette photo ! Techniquement, il est vrai que les barres noires ne sont pas indispensables
brigitte david sur 10 mars 2013 à 9h39 Un livre ouvert même si les pages sont griffées. On attend le premier acte du dragon.
alain-michel boley sur 10 mars 2013 à 9h46 Décrépitude du mur écaillé; stupéfiante échelle des proportions de l’image. On est perdu pour elle ! 😉 Idem Loïs pour le carré à gauche.
Henri sur 10 mars 2013 à 10h05 c’est vrais que le carré pourrait être bien , mais en plaçant l’angle du fond sur le tier gauche du carré le futur dragon se retrouve presque dans un cube en perspective et on garde le côté profondeur, sans les barres noires, même si on perd un peu du beau mur de gauche. Espéreront que “Dragon Lady” ne nous en voudra pas de bouleverser son antre de cette manière…
abracadabrantesque sur 10 mars 2013 à 10h26 L’extrêmement minuscule dans l’incroyablement immense. Et ces murs griffés. Vertige.
Loïs sur 10 mars 2013 à 11h34 @ Henri: bouleversement d’autant plus grand que dans la fable ,que je citais, le personnage est une souris.
rvmarec sur 12 mars 2013 à 22h59 Impressionnant, avec ce contraste entre ces murs “brûlés” et l’oisillon recroquevillé.
Louise Marquise sur 14 mars 2013 à 12h19 Merci à tous pour vos retours ! J’ai tout de suite, comme vous, pensé que les barres de fer n’étaient pas nécessaires; et je n’ai pourtant pas réussi à les enlever : sans elles, je ne lis plus le même lieux… L’image est plus lisse. Tout à fait subjectif, n’est-ce pas. Par contre, le format carré, brrrrr, personne ne m’a convaincue ! Je l’ai essayé dans tous les sens, ça me semble trop attendu, et tellement rétréci !
François Cardi sur 17 mars 2013 à 18h05 Pourquoi donc changer quoi que ce soit à cette terrifiante image?
Eric Boumard- Charrier sur 17 mars 2013 Ã 19h49 Que j’aime ton mode d’expression je vois cette faille! non un mur qui ne demande qu’a te prendre …
Matoufilou sur 18 mars 2013 à 15h13 De dragon à dragonne : vos friches photographiques sont à mes yeux le parvis d’une forêt profonde où votre fille / mésange enclose mais aux ailes intactes porte le message d’un dieu qui m’est familier.
Et pour cette transmutation, l’oisillon s’est glissé dans l’antre du dragon ! J’aime beaucoup ce mur roussi par l’animal, je l’aurai peut-être mis plus en valeur encore en relèguant l’oisillon au tiers inférieur droit. Malgré cela, une très belle image !
Pour moi, les barres noires à droite sont de trop 😉
Normalement je suis pas hyper enthousiasmé par tes images la Marquise, mais là je peux juste dire chapeau bas mademoiselle, une très très belle image!
Y’a un rapport entre l’immense et le minuscule qui est très bien vu.
Et le vers est très beau aussi.
Un carré avec la partie gauche aurait ma préférence.
“aber diese langen Mauern eilen so schnell aufeinander zu, daß ich schon im letzten Zimmer bin
@ Loïs : J’ai peur que la langue de Goethe ne soit pas aussi bien partagé par tous et je ne fais moi même que deviner le sens … alors bitte, une traduction !
@ Estienne: bien volontiers; “mais ces longs murs se rapprochent si rapidement que je suis déjà dans la dernière pièce”. Extrait de Kleine Fabel, Franz Kafka.
La disproportion, le volume de l’antre et la fragilité de l’oisillon sont parfaitement gérés.
L’écrasement est palpable, mais l’on ne sent pas encore ce que le sous-titre annonce … celui-ci me plaît énormément et illumine cette photo !
Techniquement, il est vrai que les barres noires ne sont pas indispensables
Un livre ouvert même si les pages sont griffées. On attend le premier acte du dragon.
Décrépitude du mur écaillé; stupéfiante
échelle des proportions de l’image. On est perdu pour elle !
😉
Idem Loïs pour le carré à gauche.
c’est vrais que le carré pourrait être bien , mais en plaçant l’angle du fond sur le tier gauche du carré le futur dragon se retrouve presque dans un cube en perspective et on garde le côté profondeur, sans les barres noires, même si on perd un peu du beau mur de gauche.
Espéreront que “Dragon Lady” ne nous en voudra pas de bouleverser son antre de cette manière…
Internet c’est aussi fait pour ça, non ?
😉
L’extrêmement minuscule dans l’incroyablement immense. Et ces murs griffés. Vertige.
@ Henri: bouleversement d’autant plus grand que dans la fable ,que je citais, le personnage est une souris.
Impressionnant, avec ce contraste entre ces murs “brûlés” et l’oisillon recroquevillé.
Merci à tous pour vos retours !
J’ai tout de suite, comme vous, pensé que les barres de fer n’étaient pas nécessaires; et je n’ai pourtant pas réussi à les enlever : sans elles, je ne lis plus le même lieux… L’image est plus lisse. Tout à fait subjectif, n’est-ce pas.
Par contre, le format carré, brrrrr, personne ne m’a convaincue ! Je l’ai essayé dans tous les sens, ça me semble trop attendu, et tellement rétréci !
Pourquoi donc changer quoi que ce soit à cette terrifiante image?
Que j’aime ton mode d’expression je vois cette faille! non un mur qui ne demande qu’a te prendre …
De dragon à dragonne : vos friches photographiques sont à mes yeux le parvis d’une forêt profonde où votre fille / mésange enclose mais aux ailes intactes porte le message d’un dieu qui m’est familier.