Louise Markise
se déguise,
et de fils en aiguilles,
tisse une toile mêlée
d’autoportraits
et de poésie volée.
Elle funambule entre
le mot et l’image,
entre la fantaisie et la nudité,
les couleurs et les silences.
Jeune adulte
ou grande enfant,
elle vit
depuis cinq ans à Berlin.
c’est excellent! pleine d’histoires possibles cette photo et les noirs rafraichissement comme des vrais ombres des arbres!
Bernard Lvq
sur 17 décembre 2011 à 11h11
Quitte à décoller du réel et être à la frontière du surréalisme avec cette barque qui flotte sur du “presque rien” (la matière n’est plus essentielle dans ce cas présent) pourquoi ne pas éclaircir très très légèrement la barque pour la rendre plus discernable (avec ses reflets), pratiquement faire disparaître les arbres qui ne servent à rien et enlever tout ce qui pourrait s’apparenter à des pétouilles mais qui ne sont en fait que des feuilles à la dérive ….
pour résumer, la barque seule avec son reflet sur fond pratiquement noir ? non ?
flore
sur 17 décembre 2011 à 16h48
Et vivre pour de faux, F
Brigitte David
sur 17 décembre 2011 à 20h42
Super! L’illusion est parfaite. Le réel est un rêve à peine éveillé.
c’est excellent! pleine d’histoires possibles cette photo et les noirs rafraichissement comme des vrais ombres des arbres!
Quitte à décoller du réel et être à la frontière du surréalisme avec cette barque qui flotte sur du “presque rien” (la matière n’est plus essentielle dans ce cas présent) pourquoi ne pas éclaircir très très légèrement la barque pour la rendre plus discernable (avec ses reflets), pratiquement faire disparaître les arbres qui ne servent à rien et enlever tout ce qui pourrait s’apparenter à des pétouilles mais qui ne sont en fait que des feuilles à la dérive ….
pour résumer, la barque seule avec son reflet sur fond pratiquement noir ? non ?
Et vivre pour de faux, F
Super! L’illusion est parfaite. Le réel est un rêve à peine éveillé.