Louise Marquise

Louise Markise se déguise, et de fils en aiguilles, tisse une toile mêlée d’autoportraits et de poésie volée. Elle funambule entre le mot et l’image, entre la fantaisie et la nudité, les couleurs et les silences. Jeune adulte ou grande enfant, elle vit depuis cinq ans à Berlin.
6 Commentaires
  1. Si c’était une séance de cinéma, je dirais que l’on a pas la meilleure place dans la salle ! Pour la photographie, l’idée du mystère est bien rendu, mais la mise en lumière fait cliché de théâtre pour le coup…
    😉

  2. Vous êtes beaux tous les 2, votre liberté face à l’objectif est enviable, belle série, F

  3. Je pense que ce côté mise en scène théâtral est voulu, on ne peut donc pas le reprocher à cette image. Pour moi, elle fonctionne mieux en couleur parce qu’on garde plus de lisibilité dans le décor avec des nuances de bruns sur le plancher, même s’il est très sombre. Ici ce n’est pas totalement bouché, (pas loin) mais surtout plus uniforme, ce qui génère un trou noir qu’on ne ressent pas de la même manière en couleur.
    Belle série en tous cas, bravo.

  4. Idem Flore et philippe | photofloue pour la qualité de la série présentée en lien.
    Comme il se trouve que j’ai apporté le premier commentaire sur cette photographie, donc sans connaissance de la suite, je maintiens mon point de vue sur l’image présentée. Il va sans dire que je n’ai rien contre les éclairages de théâtre !
    “Je flotte au-dessus” , “Anonyme caverne” et ”Je flotte” pour ne citer qu’elles, étaient aussi des sorte de mise en scène. Elles me paraissaient plus évidentes notamment au niveau de la lumière.
    😉

  5. Encore une photo porno sur LVEG :mrgreen:
    J’aime bien l’image et la série en couleur…

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