22 Commentaires
  1. Un aspect à la Paul Klee pas déplaisant. Après tout, la ligne droite n’est peut-être pas le plus court moyen de se déplacer d’un point à un autre !
    🙂

  2. Composition et traitement intéressant, Klee ou Kandinsky ???

  3. Serais-je la seule à voir cette photo complètement détériorée ???
    Dans ces conditions le sol ressemble plus à une mosaïque qu’à du Klee ou du Kandinsky!….

  4. Ping-Pong, Ping-Pong Ping-Pong ….
    Joli motif de piste d’aterrissage pour voyageurs du 3eme type…

  5. Irène, je n’y comprends rien et ce n’est pas la première fois que le ‘problème’ semble se produire avec toi et aussi une fois avec blagapart… Pourtant, sur mon écran tout est OK et j’ai procédé comme à l’habitude. Peut-être pourrions-nous avoir l’avis d’autres internautes? J’aimerais bien comprendre…

  6. Je pense qu’Irène veut dire qu’on peut voir à certain endroits des sortes d’artefacts pixéllisés qui remplace la matière du revêtement de la cour. C’est sans doute dû à un problème de compression quand tu prépares ta photo.
    Sinon pour la photo, hormis ce problème technique, qui doit apparaître plus ou moins fortement selon les écrans (je dois avouer que chez moi ce n’est pas particulièrement violent même si ça reste visible), je la trouve très bien, hormis le renflement sombre sur la droite qui attire mon oeil

  7. La mosaïque n’est pas un écueil artistique. L’associer nécessairement à une détérioration est peut-être trop orthodoxe ? Il y a un aspect presque ciselé par endroit.
    🙂

  8. Merci Cormac, je vais tenter de retravailler le fichier mais il est vrai que des fois je doive compresser beaucoup afin de ne pas trop dépasser les 100k requis. Celle-ci fait déjà 125k…

  9. @Alain-Michel, non, ce n’est pas être orthodoxe! C’est un dysfonctionnement qui n’a absolument rien d’artistique (pour ma part)!
    Vraiment, parfois je me demande!…
    @cormac, oui, bien-sûr cela dépend peut-être de mon écran, mais sincèrement, je ne peux pas me faire une opinion sur la photo en question, c’est vraiment très fortement pixellisé…

  10. J’ai tenté de retravailler mon fichier autrement. Et maintenant, c’est mieux?

  11. Bonjour Josée. J’apprécie la composition par votre choix du cadre qui brise les lignes. Mais j’y suis moins sensible que dans vos propositions précédentes. Ce que j’aime dans vos photos, c’est que le réel se dilue dans l’abstrait, qu’il y a une confusion des frontières entre les deux, que l’abstrait surgit inopinément et finit par recomposer le réel, s’imposer même parfois. Ici, l’abstrait est trop explicitement référencé et tracé (on a cité Klee et Kandinsky) pour que je me perde dans cette photo. “Sans titre” me semble à cet égard plus mystérieux et abouti. Sinon, sur mon écran, pas de problème de pixel sur cette version.

  12. C’est parfait! Belle texture du sol, quant à la composition, j’opterai plutôt pour l’idée de pingupingu! 😉

  13. ce matin et avec ce nouveau traitement ,j’y vois comme un paysage vu du ciel et dans cette immensité , les géoglyphes de Nazca …
    je rejoins Francis sur le fait que parfois le titre empêche l’évasion …

  14. Kandinsky, Klee ou Volubilis et Pompeï?

  15. @Josée =Je reviens sur cette photographie qui a été modifiée hier en fin de soirée. A la première lecture, j’en ai apprécié la composition d’ensemble et évoqué un aspect à la Paul Klee, notamment par l’alliance des lignes et des “ciselures”. Etant le premier à intervenir, je ne suis pas allé plus avant dans les détails (et le rapport titre-image en était un). Cette image étant clairement qualifiée comme abstraite, il y a toujours un espace lent pour former son appréciation, y revenir etc.
    Dans la soirée, un billet d’une éminente contributrice de ce blog alerte la “Grisisphère” sur la détérioration de l’image. À juste titre, vous demandez des avis à d’autres “Grisisnautes”. Personnellement je ne vois pas en quoi l’effet mosaïque se rapporterait directement à une détérioration du fichier, et vous le déclare en deuxième billet. Il existe aujourd’hui tant d’effets de textures que les choix sont ouverts…
    A présent, je découvre changement et commentaires de suite. Il serait tout de même plus simple et plus adulte que chacun prenne ses responsabilités, surtout en terme de photographie abstraite.
    Si il importe de respecter le format hauteur et largeur imposé pour la publication, en revanche l’essentiel est bien que vous soyez sûre du traitement adéquat convenant à votre œuvre ! Que votre fichier, travaillé selon vos choix, pèse 40 ou 50 ko de plus n’empêchera pas la planète de tourner…
    La version que vous proposez en seconde lecture est effectivement plus lisse que la première.
    Êtes-vous rassurée ?
    😉

  16. J’ai l’impression que la 2e version est floue (lisse), si le fichier est enregistré sur
    Pshop (et je l’ai lu sur LVEG), il faut enregistrer sur: fichier>enregistrer pour le web et les peri.. (Après avoir réduit la taille de l’image).
    Dans la fenêtre qui s’ouvre: jpeg,élevée,qualité entre70 et 90,progressif,incorporer le profil,convertir en sRVB, le poids de l’image est indiqué sous la photo à gauche variant selon la qualité choisie.
    J’ai vu des fichiers “pesant” 283ko! sans complexe.
    La Grisisphère, j’espère que cela va rester.

  17. Petite contribution à l’interprétation: ça ressemble à un dessin de la vallée des merveilles. Comme leur interprétation est problématique, ça laisse du champ (du signe, évidemment !). Mais je ne vois ni Klee, ni Kandinski (ces gens ne photographiaient même pas!). Je vois juste une bonne photo, bien graphique.

  18. Merci à tous pour vos commentaires et votre aide!
    @ Cormac: En ce qui me concerne, dans 99% des cas, il s’agit d’une “erreur 18” où l’erreur se situe précisément à 18 pouces en face de l’écran! Mais je pense avoir mis le doigt sur le bobo: j’exporte mes images à partir de Lightroom et quand mes fichiers d’origine sont trop volumineux, j’abaisse la qualité à ce moment précis de l’exportation jusqu’à ce que j’obtienne le poids requis. Il faudrait sans doute que j’agisse en amont dans Photoshop… Je tâcherai désormais d’être plus attentive à cette étape. En ce qui concerne le renflement noir sur la droite, j’ai hésité puis, j’ai préféré intervenir le moins possible.
    @ Irène : Merci de m’avoir alerté sur la détérioration de l’image. Grâce à toi, j’espère que plus personne ne s’imaginera que je fais dans la mosaïque!
    @ Francis : Je suis très sensible à votre commentaire. C’est très étrange que, ne me “connaissant” que par quelques photographies, vous arriviez à trouver les mots juste sur ma démarche. Quand la plupart de ceux qui me côtoient n’y comprennent à peu près rien, vous m’encouragez à poursuivre dans des moments de doute. Quant à Klee ou Kandinsky, je n’y ai jamais songé. Aussi, j’ai toujours été très mal à l’aise de donner des titres à mes photos parce que justement, en y collant une référence, on en oriente souvent à tort le sens et la lecture. Je me plie à regret à cet exercice depuis mon arrivée sur LVEG…
    @ Alain-Michel : Vous faites bien sûr preuve d’indulgence et d’ouverture quant à toutes formes de traitement mais pour ma part, lorsque je publie une photographie pour la soumettre aux critiques, j’aime être certaine qu’elle apparaîtra aux autres telle que je la vois sur mon écran et pas autrement. Sinon, je suis rassurée et vous remercie pour votre avis.

  19. @ Hervé : J’ai écris trop vite avant de lire votre conseil. Merci beaucoup; je ferai l’exercice.
    @ blagapart : J’aime bien cette référence à propos “d’un dessin de la vallée des merveilles” (j’ignore si ça réfère à quelque chose de précis mais l’expression est très jolie). Merci!

  20. Ah, oui! c’est tout à fait ça blagapart! Quelle culture… 😉

  21. @Irène :j’y suis allé, c’est donc une culture pédestre!

  22. En regardant votre image il y a quelques heures, je pensais à l’art aborigène et comme je ne connais pas ce pays j’ai consulté la “toile”.
    L’art collectif de celui qui a tracé le jeu, de celui qui a mis les pansements de goudron (wiki.:dans une sorte de continuité historique où le présent et le passé ne cesse de se conjuguer et se réinventer) et pour le rêve, il est dans le regard de celui (ou celle) qui le capture et qui le transmet pour qu’il s’étoffe.

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