Louise Markise
se déguise,
et de fils en aiguilles,
tisse une toile mêlée
d’autoportraits
et de poésie volée.
Elle funambule entre
le mot et l’image,
entre la fantaisie et la nudité,
les couleurs et les silences.
Jeune adulte
ou grande enfant,
elle vit
depuis cinq ans à Berlin.
9 Commentaires
Henri
sur 20 juillet 2011 à 12h24
j’aime beaucoup la courbe dessinée par corps , la tension des muscles et la lumière, c’est vraiment très beau ,mais j’aime moins le basculement de la photo.
alain-michel boley
sur 20 juillet 2011 à 12h28
Le mouvement du corps est très beau (et la photo pourrait être superbe). Mais sa position étant artificiellement verticale par le pivotement du cliché, cela se voit sur le dessin des muscles au niveau des lombaires et provoque une réticence graphique [pour ne pas dire carrément une gêne du plaisir visuel sur cette chute de reins de naïade]. Je crois avoir vu hier soir une version différente. Celle-ci me paraît apporter une meilleure dynamique.
Si la photo est ennuyeuse à l’horizontale, elle le sera dans tous les sens…
Malgré ton très joli corps! 😉
alain-michel boley
sur 20 juillet 2011 à 14h32
Le léger problème n’est pas dans l’ennui. Puisqu’il s’agit donc d’un autonu, si j’en crois l’assertion d’Irène, il suffit donc d’imaginer dans votre propre pose le rendu qui en sera graphiquement une fois la photo pivotée (puisque tel est votre choix). Pour donner un exemple, je crois qu’il suffirait de tendre davantage la jambe droite, pied droit dépassant le gauche et complétant l’arrondi global de la pose. Cela permettrait aussi de justifier la tension apparaissant au niveau des lombaires et donnerait plus de délice au regard au vu d’un arc devenu parfait.
j’aime beaucoup la courbe dessinée par corps , la tension des muscles et la lumière, c’est vraiment très beau ,mais j’aime moins le basculement de la photo.
Le mouvement du corps est très beau (et la photo pourrait être superbe). Mais sa position étant artificiellement verticale par le pivotement du cliché, cela se voit sur le dessin des muscles au niveau des lombaires et provoque une réticence graphique [pour ne pas dire carrément une gêne du plaisir visuel sur cette chute de reins de naïade]. Je crois avoir vu hier soir une version différente. Celle-ci me paraît apporter une meilleure dynamique.
( Hier soir j’avais en effet posté cette photo là https://www.lavieengris.com/wp-content/uploads/2011/07/ohlala38.jpg )
Maaaaais. Elle est ennuyeuse, cette photo, à l’horizontale. Si si.
J’aime beaucoup! la précédente aussi bravo.
Si la photo est ennuyeuse à l’horizontale, elle le sera dans tous les sens…
Malgré ton très joli corps! 😉
Le léger problème n’est pas dans l’ennui. Puisqu’il s’agit donc d’un autonu, si j’en crois l’assertion d’Irène, il suffit donc d’imaginer dans votre propre pose le rendu qui en sera graphiquement une fois la photo pivotée (puisque tel est votre choix). Pour donner un exemple, je crois qu’il suffirait de tendre davantage la jambe droite, pied droit dépassant le gauche et complétant l’arrondi global de la pose. Cela permettrait aussi de justifier la tension apparaissant au niveau des lombaires et donnerait plus de délice au regard au vu d’un arc devenu parfait.
@ Louise Marquise : J’avais vu celle d’hier soir, celle-ci est bien supérieure dans le cadrage et la composition.
Horizontale.
Définitivement horizontale