rue montorgueil, paris

huss




23 Commentaires
  1. Ambiance, cadre, lumière, attitudes, regards… une image aussi réussie sur la forme que sur le fond et où chaque détail est important. Belle image, vraiment, F

  2. Au train où vont les choses, dans dix ans il n’y aura plus besoin de parkings dans les HLM, c’est pas ça qui engagera forcément les bourgeois-bohèmes a y aller plus souvent à vélo…
    Ah oui ! Pour la photo, il y aura peut-être aussi des traducteurs de langue intégrés dans le pixel, comme ça tout le monde pourra comprendre le message qui est marqué sur la vitrine en temps réel, ça favorisera certainement l’amitié et la connivence entre les peuples. D’accord avec Flore pour les qualités de cadre, lumière. Pour le message, parce qu’il y en a forcément un, non ? et bien je trouve qu’une photographie doit trouver son énergie dans ses propres signes, pas sur un slogan qui “fait” ou doit faire comprendre…
    Que se passe-t-il dans cette image (oublions le slogan).
    Deux jeunes femmes sont attablées et semblent prendre un déjeuner sur une table donnant sur rue. Dehors un ouvrier du bâtiment passe. On peut raisonnablement penser qu’il est concentré sur ce qu’il fait.
    Vous n’avez pas quelque de chose de plus profond à dire sur la condition des midinettes et des ouvriers, d’une manière photographique, il s’entend ?
    ;o)

  3. Très belle photo, beau coup d’œil du photographe qui a su extraire un sens d’une scène a priori banale pour tout un chacun (moi en premier).
    Je rejoins Flore.

    Par contre, rien compris au sens du commentaire d’alain-michel 😉

  4. complétement d’accord avec toi Bernard sur les deux points. 😉

  5. Peut faire aussi court qu’Henri, mais ça va être dur !
    ;o)
    Résumé du précédent : 1/d’accord avec Flore (et donc ensuite avec B et H) pour cadre, technique, bref la forme;
    2/ sur le fond, la photo me laisse perplexe parce que, à partir du moment où un slogan (sur la vitrine) occupe une bonne place visuelle, il y a plusieurs sens qui s’installent. Celui de la photo, et celui du détournement par l’ajout du sens de ce qui est écrit.
    3/ l’image de la femme et de l’ouvrier valent mieux que ce genre de raccourci un peu hâtifs. Voilà.
    ;o)

  6. @ alain-michel … pour moi il n’y a qu’un sens (évident) voulu par canardo, et excuse-moi …”Celui de la photo, et celui du détournement par l’ajout du sens de ce qui est écrit”… je crois bien que tu t’emmêle les pieds dans le tapis 😉

  7. Point de noeuds au cerveau chez moi ! Vraiment ça fonctionne impec, direct, pour moi le fond n’est pas forcément aussi profond que ce que vous recherchez alain-michel… c’est juste une scène urbaine, un clin d’oeil sur un slogan bien-pensant de notre époque, éclaboussé par des travaux bien-vivants… et surtout 3 personnes, chacune dans son univers, indifférentes à cette pub à 2 balles.
    Superbe !

  8. l’image n’est pas mal en tant que telle, mais je plussoie totalement avec le commentaire d’Alain-Michel boley…

  9. Assez d’accord, si j’ai bien compris, avec le commentaire d’Alain-Michel. Quel est le message/sens de cette photo (par ailleurs très réussie)? Je crains le raccourci/cliché sociologique…

  10. C’est une belle photo, tout simplement, une scène de la vie quotidienne magnifiée par le coup d’oeil du photographe. Le slogan est la parce que c’est celui d’une chaîne de distribution bien implanté, rien d’autre. Pourquoi faudrait-il voir un message ou de la sociologie dans chaque photo? Je ne pense pas, tout simplement, que ce soit le propos.

  11. Oui, rvmarec a peut-être raison, c’est peut-être simplement une très bonne photo… Le raccourci est peut-être chez moi uniquement;-)

  12. Photo correcte mais je rejoins Alain-Michel sur le questionnement du fond

  13. Diable LVEG reprend vie 😉

    C’est assez amusant… personne ne parle en fait du sens qu’il a vu dans cette photo mais se pose des questions sur le fond.

    La photo est pour moi de tout évidence un détournement, un clin d’œil ironique ou acide réunissant les trois paramètres visibles ici, à savoir …
    Des femmes blanches, correctement vêtues, venant dans un espace de restauration rapide vantant le “bien manger”, portant donc l’attention sur la qualité de vie, hypothèse d’un niveau social au minimum correct. Passe devant elles un manœuvre black en train d’effectuer une besogne de base, en plein chaleur, dans la rue, au moment du repas.

    Alors je veux bien des explications complémentaires sur “à partir du moment où un slogan (vitrine) occupe une bonne place visuelle, il y a plusieurs sens qui s’installent* Celui de la photo**, et celui du détournement par l’ajout du sens de ce qui est écrit**.”

    * Lesquels ?
    ** Prise de tête pour dire la même chose ?

    “l’image de la femme et de l’ouvrier valent mieux que ce genre de raccourci un peu hâtif”

    Diable, mais à quoi donc penses-tu ?

  14. Oui franchement, pourquoi une telle prise de tête sur un pseudo-regard de sociologue ? L’image a du sens toute seule, pas besoin de chercher midi à 14 heures… Pour moi c’est une photo très réussie, elle fixe un instant urbain avec une belle acuité, sans jugement ou dé-jugement des uns et des autres…

  15. Le sens est dans le regard, avec ses émotions et ses présupposés. D’où parle celui qui évoque une “besogne de base” ?

  16. Ça chauffe, rue Montorgueil ! Ça buzz sévère…
    C’est bon !
    On va bientôt se faire une bonne bouffe !
    ;o)

  17. Yep, c’est l’heure du casse croute !

  18. @ Arnaud … trop drôle … tu ne me vois pas, mais je suis sur un trône et j’ai une couronne et les manants qui creusent des trous…

    @ alain-michel … voilà une bonne conclusion !

  19. damned, je ne pensais pas declencher ce bel echange en croquant cette sainette de montorgeuil ; pour tout vous dire je n’ai pensé qu’aux contrastes, include celui un peu facile peut-etre de l’ouvrier et des bobos bonne bouffe, j’accepte donc le reproche d’alain michel et aussi d’avoir pu montrer un peu de nos rues en effet contrastées.
    Et croyez moi l’ouvrier avait bien vu les craquettes et vice-versa..
    merci pour vos comment anyway
    coin coin

  20. Je crois connaître les prénoms des 2 jeunes femmes.

  21. Mesdemoiselles “canette” et “chopine”, vous êtes reconnues!

  22. damned !

  23. argh

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