Le rupture à Venise est vite conventionnelle, avec en plus ce gris fade qui tranche avec les dernières réalisations de LVEG dans l’illustre cité, mais je prends le risque…




Matoufilou

La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
7 Commentaires
  1. Et Casanova va …

  2. dggrgrwh

  3. @ dyellogfhf001 : Gogol-trad me traduit votre formule par “dégueu, grrr, vraiment grrr, grrr”. Est-ce bien ça ? Et si oui, le pourquoi m’intéresserait…

  4. Cette vue n’a pas convaincu. Paresse du regard ? Dégoût du sujet ? Dépixellisation excessive ? J’espérais qu’on y détecterait la volonté de faire “cinéma”, avec toutes ces lignes de fuite qui paraissent répugner à se croiser, le rond du vignetage et ce couple où l’on garde ses distances… Tant pis, je continue pour ma part à la trouver marrante. Venise parfois va de travers !
    Bonnes vacances aux chanceux, et j’en fais partie.

  5. Ca doit être terrible Venise, où l’on se doit de rester collés sinon suspicion de rupture Ca n’est peut-etre qu’une ville imaginaire!

  6. Pour le cinéma, je pense à un Vadim dont j’ai oublié le titre.

  7. @ Brigitte : La rupture ici, c’était aussi celle du “fondamente”. Nécessairement il va falloir rebrousser chemin, au moment où tous les bateaux s’en vont…
    Quant à la ville imaginaire, n’est ce pas une belle définition du Haut-lieu ?
    @ Monsieur HR : Vadim à Venise, avec Jane Fonda, oui, à la fin des années 60, mais pas le souvenir qu’il en soit sorti un film.
    Merci à vous deux.

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