Le rupture Ă Venise est vite conventionnelle, avec en plus ce gris fade qui tranche avec les dernières rĂ©alisations de LVEG dans l’illustre citĂ©, mais je prends le risque…
Le rupture Ă Venise est vite conventionnelle, avec en plus ce gris fade qui tranche avec les dernières rĂ©alisations de LVEG dans l’illustre citĂ©, mais je prends le risque…
Et Casanova va …
dggrgrwh
@ dyellogfhf001 : Gogol-trad me traduit votre formule par “dĂ©gueu, grrr, vraiment grrr, grrr”. Est-ce bien ça ? Et si oui, le pourquoi m’intĂ©resserait…
Cette vue n’a pas convaincu. Paresse du regard ? DĂ©goĂ»t du sujet ? DĂ©pixellisation excessive ? J’espĂ©rais qu’on y dĂ©tecterait la volontĂ© de faire “cinĂ©ma”, avec toutes ces lignes de fuite qui paraissent rĂ©pugner Ă se croiser, le rond du vignetage et ce couple oĂ¹ l’on garde ses distances… Tant pis, je continue pour ma part Ă la trouver marrante. Venise parfois va de travers !
Bonnes vacances aux chanceux, et j’en fais partie.
Ca doit Ăªtre terrible Venise, oĂ¹ l’on se doit de rester collĂ©s sinon suspicion de rupture Ca n’est peut-etre qu’une ville imaginaire!
Pour le cinĂ©ma, je pense Ă un Vadim dont j’ai oubliĂ© le titre.
@ Brigitte : La rupture ici, c’Ă©tait aussi celle du “fondamente”. NĂ©cessairement il va falloir rebrousser chemin, au moment oĂ¹ tous les bateaux s’en vont…
Quant Ă la ville imaginaire, n’est ce pas une belle dĂ©finition du Haut-lieu ?
@ Monsieur HR : Vadim Ă Venise, avec Jane Fonda, oui, Ă la fin des annĂ©es 60, mais pas le souvenir qu’il en soit sorti un film.
Merci Ă vous deux.