Les lieux abandonnés finissent irrémédiablement détruits ! Mais quelquefois, au milieu des débris, surgit une œuvre éphémère. Même si on ne l’apprécie pas, l’effort qu’elle a demandé hors des sentiers balisés retentit comme un souffle ultime de l’activité humaine. La photo sert à en laisser une trace.




Tristan D.

Photographe amateur, amateur de photographie. Surtout attiré par la prise de vue, le regard. Attrait particulier pour le N&B. A suivre ici : Station 32. Et aussi sur Facebook ou Twitter
8 Commentaires
  1. trop triste … 🙁

  2. Un e publication un peu prématurée, je l’aurais bien vue le 1er avril !
    Je suis également curieux de savoir quels étaient les autres débris qui l’entouraient.

  3. Des débris, il y a ce qu’il faut en haut comme en bas pour vilainement encadrer cette peinture qui me plait bien. Dommage de lui avoir coupé la queue … Je ne suis pas sûr que ce cadrage soit le meilleur ici mais je ne connais pas l’environnement de la prise de vue ! 🙂

  4. @M. HR : imagine une grande salle d’hôpital, ouverte aux quatre vents, dont chaque mur ou colonne sont couverts de tags, le sol jonché de débris de plâtre, brique, bois, bouteilles, canettes, … Je vous montrerai peut-être une photo plus représentative.

    @Estienne : pour montrer le poisson en entier, il aurait fallu un format pano. Et ce n’était pas exactement mon intention. Je trouve que le carré “dilue” moins le sujet (qui n’est pas juste le poisson). Et effectivement, il y a toujours des éléments à ne pas faire entrer dans le cadre.

  5. J’adore toutes les qualités de cette pdv…

  6. Mon regard est aussi attiré par la précision des débris et gravats au sol qui contraste avec la texture plus lissée du poisson peint.

  7. Je suis retourné le WE dernier sur les lieux. Il n’y a plus rien. Les bâtiments ont été détruit et le bord de mer reprend ses droits…

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