Josée sur 4 mars 2012 à 19h10 J’ignore s’il s’agit d’une nouvelle série mais j’apprécie encore cette nouvelle approche malgré le traitement beaucoup plus marqué que la précédente.
Irène de Groot sur 4 mars 2012 à 20h08 A mi-quai, il n’y pas de mousse… Je me suis creusée, c’est tout ce que j’ai trouvé! 😉
Brigitte David sur 4 mars 2012 à 23h10 La fermentation, la nervosité de l’esquisse, la façon de balancer un peu de valeur imaginaire ajoutée à la platitude de l’horizon. Contrairement à Irène je ne me creuserai pas. Je sais que je ne trouverais pas. Mais d’où me vient que dans ce mi-quai la petite mousse n’est pas loin?
hervé sur 4 mars 2012 à 23h46 Là j’acquiesce, si dans la proposition précédente il restait un semblant de papier peint (les formules mathématiques) ici point, on est dans la transgression sans fard: une proposition mieux traitée qu’une planche contact qui ne dit que oui ou non, en fait une réflexion étayée de ce que pourrait être une image si l’on avait les moyens (ou l’envie) de faire la mise en scène, une projection de l’imaginaire à coup de crayon, en bref Å“uvrer dans la continuité. Bravo, à mi-quai ça mousse ! 😉
blagapart sur 5 mars 2012 à 10h02 @Josée : j’espère que c’est un début de quelque chose, mais je ne vois pas encore de quoi… @Irène, Hervé, Brigitte: mousse ou pas mousse, c’est peut-être Minnie-mousse ! Je retire de vos commentaires un certain encouragement. PS: il y a encore des traumatisés du papier peint… Pour essayer de m’expliquer un peu, la fonction du papier peint est de prendre de la distance par rapport à l’image (façon “ceci n’est pas une pipe”). Je vois bien que c’est la démarche inverse de celle qui consiste à investir l’image au maximum, démarche plus “sensible”, et plus reconnue. Dans cet essai, j’essaye de commenter l’image. C’est finalement moins radical, contrairement à ce que l’on pourrait croire dans un premier regard.
cormac sur 5 mars 2012 à 16h31 ouaip belle image, une belle direction que tu es en train de prendre blagapart, plus de respiration, plus de place pour que le spectateur investisse l’image et beaucoup d’élégance et de légèreté, enfin c’est comme ça que je le ressens.
GBertrand sur 5 mars 2012 à 16h34 J’ai beaucoup aimé l’image précédente (“La parabole du fou”). Celle-ci est un gag visuel doublé d’un calembour. Ce qui fait qu’on sent trop la fabrication et qu’on perd tout mystère.
blagapart sur 5 mars 2012 à 23h24 @GBertrand : elle est tout autant improvisée que la précédente; c’est seulement une moins bonne photo, peut-être… La version couleur paraîtra un jour, avec un sens très différent.
J’ignore s’il s’agit d’une nouvelle série mais j’apprécie encore cette nouvelle approche malgré le traitement beaucoup plus marqué que la précédente.
A mi-quai, il n’y pas de mousse…
Je me suis creusée, c’est tout ce que j’ai trouvé! 😉
Mélange heureux, entre la photo, le graphisme, le traitement
La fermentation, la nervosité de l’esquisse, la façon de balancer un peu de valeur imaginaire ajoutée à la platitude de l’horizon.
Contrairement à Irène je ne me creuserai pas. Je sais que je ne trouverais pas. Mais d’où me vient que dans ce mi-quai la petite mousse n’est pas loin?
Brigitte, le mi-quai n’amasse pas mousse! 🙂
Là j’acquiesce, si dans la proposition précédente il restait un semblant de papier peint (les formules mathématiques) ici point, on est dans la transgression sans fard: une proposition mieux traitée qu’une planche contact qui ne dit que oui ou non, en fait une réflexion étayée de ce que pourrait être une image si l’on avait les moyens (ou l’envie) de faire la mise en scène, une projection de l’imaginaire à coup de crayon, en bref Å“uvrer dans la continuité.
Bravo, à mi-quai ça mousse ! 😉
@Josée : j’espère que c’est un début de quelque chose, mais je ne vois pas encore de quoi…
@Irène, Hervé, Brigitte: mousse ou pas mousse, c’est peut-être Minnie-mousse !
Je retire de vos commentaires un certain encouragement.
PS: il y a encore des traumatisés du papier peint… Pour essayer de m’expliquer un peu, la fonction du papier peint est de prendre de la distance par rapport à l’image (façon “ceci n’est pas une pipe”). Je vois bien que c’est la démarche inverse de celle qui consiste à investir l’image au maximum, démarche plus “sensible”, et plus reconnue. Dans cet essai, j’essaye de commenter l’image. C’est finalement moins radical, contrairement à ce que l’on pourrait croire dans un premier regard.
ouaip belle image, une belle direction que tu es en train de prendre blagapart, plus de respiration, plus de place pour que le spectateur investisse l’image et beaucoup d’élégance et de légèreté, enfin c’est comme ça que je le ressens.
J’ai beaucoup aimé l’image précédente (“La parabole du fou”).
Celle-ci est un gag visuel doublé d’un calembour. Ce qui fait qu’on sent trop la fabrication et qu’on perd tout mystère.
@GBertrand : elle est tout autant improvisée que la précédente; c’est seulement une moins bonne photo, peut-être… La version couleur paraîtra un jour, avec un sens très différent.
Plutôt mini, donc…
😉