et/ou en carton




Louise Marquise

Louise Markise se déguise, et de fils en aiguilles, tisse une toile mêlée d’autoportraits et de poésie volée. Elle funambule entre le mot et l’image, entre la fantaisie et la nudité, les couleurs et les silences. Jeune adulte ou grande enfant, elle vit depuis cinq ans à Berlin.
30 Commentaires
  1. j’aime bien cette image me raconte pleins d’histoire !! elle est unique ou elle s’inclue dans une série ??

    sarabande

  2. Oui, mais Francesca Woodman l’a déjà faite…

  3. c’est ennuyeux ???

  4. Il n’est jamais trop tard pour bien faire !
    ici 

    🙂

  5. @sarabande : oui, c’est ennuyeux quand on connait la photo de Francesca Woodman ! Désolé…
    @ Louise marquise : je pensais que vous l’aviez refaite à dessein. Sinon, c’est une photographe tellement géniale que passer après elle n’est pas indigne ! Mais votre photo est nettement plus kawaï, ce que je regrette (mais c’est une question de génération)

  6. Une image bien sympathique !

  7. @ blagapart:un lien direct vers la photo en question? Merci

  8. Louise, tu peux faire confiance à blagapart, il s’y connaît en papier peint! 😉

  9. @ blagapart: merci pour le lien!
    Pas de papier peint sur la photo de Woodman!

  10. Quel beau lien vers cette photo de Francesca Woodman; merci balgapart.

  11. @Blagapart dans la photo de ton lien , je pense qu’il s’agit d’un morceau de miroir dont elle c’est servi dans d’autres photos , mais il y en a bien une avec du papier peint , la 4 ième sur ce blog http://floradeborah.com/blog/?p=747
    d’ailleurs ce blog peux peut être intéressé Louise… 😉

  12. Le spécialiste du papier peint traque le copier-coller! 😉
    Copier et coller sont pourtant 2 opérations de base du papier-peint.

  13. en tout cas je viens encore de découvrir une nouvelle artiste ! merci

  14. En tous cas, voici une photo qui ne fait pas tapisserie.

  15. Une image vraiment originale qui est tout de même différente de la photo de Francesca Woodman même si l’on pense qu’elle s’en inspire

  16. alors là, Francesca, comment me douter que je ferai autant parler de toi… !

  17. mais enfin, ça ne se finit pas bien l’histoire de Francesca…

  18. @Louise : Merci pour le lien qui nous renvoie à la mini-série! Il s’agit vraiment d’une très très belle série. Au plaisir de suivre ton travail.

  19. Après une recherche sur l’esthétique kawaï, je pourrais comparer Louise sur cette photo avec le personnage d’Hello Kitty qui n’a pas de bouche parce qu’elle parle avec son coeur.

  20. J’aime beaucoup ! Ton travail me surprends toujours.

  21. @ Louise: je précise que je ne partage pas le point de vue de Blagapart. Mon allusion à Kitty est une façon de contester le qualificatif de kawaï attribué à cette photo.
    Pas de kawaï dans l’affaire, mais certainement du coeur. 😉

  22. J’aime beaucoup ça Louise !
    Continue à faire confiance à ton inspiration, garde ta fraîcheur, on se fiche complètement que la même idée aie déjà été faite par tartempion, zinzin ou adolphe !!
    Commencent à me les briser menu tous ces commentaires où il n’est question que de références, de déjà vu, d’étalage de leur immense KULTUR !!

    Je ne résiste pas à placer ce petit texte de Doisneau :

    “Je passe sur le Pont-Neuf en compagnie de « l’homme cultivé ». Vers l’ouest un faisceau de soleil envoie sur la Seine un éclairage somptueux. Oh regardez ! Alors il grogne : « C’est un Marquet ». Dès qu’une brèche s’ouvre sur l’éblouissant imprévu il la colmate avec des mots. C’est tout ce que ça lui fait ; dans sa tête il a reçu une information et immédiatement l’a classée ; surtout pas d’émotion facteur de désordre et de remise en question, et puis un pont ce n’est pas un endroit convenable pour admirer, il y a des musées pour ça, comme d’autres disent en voyant des amoureux s’embrasser dans la rue, il y a des hôtels pour ça.
    Je le laisse partir vers l’Institut tout courbé sous le poids de son érudition. Ils sont dangereux ces types avec leurs certitudes ; si on les laissait faire ils vous empailleraient tout vivant. Ce ne sont que des fouilleurs de viscères, des médecins légistes qui n’ont jamais aidé personne à vivre.

    Voilà qui est dit, pan ! Il faut de temps en temps casser une potiche, après quoi on part sur la pointe des pieds, soulagé et à nouveau disponible.

    😉

  23. Non, ce n’était pas moi du tout, quelle drôle d’idée…!

    Je n’en reviens pas de ce commentaire.

  24. ah bon desolee je me suis trompee
    mais vous ne connaissiez pas ce blog?

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