Mima sur 2 décembre 2011 à 18h30 Et il a payé la consultation, juste pour rire;par ailleurs, j’aime bien ce montage mais le personnage de Kafka et trop petit par rapport à son analysant.
flore sur 2 décembre 2011 à 23h21 Trop petit Kafka ? Il n’en est qu’au début de son analyse. Il grandira au fil des séances. Beaucoup d’humour et de tendresse dans cette image, F
alain-michel boley sur 3 décembre 2011 à 18h35 Kafka mis en image… Je reste sur l’interprétation de Jeremy Irons dans le film-titre de Steven Soderbergh ! L’esthétique de votre mise en scène est séduisante dans les détails, mais l’ensemble est par trop kitsch… Il y a le rapport de proportion souligné par Mima, qui crée comme un vide que les cahiers épars ne rempliront pas. Et puis l’analyste devrait s’effacer ! 😉
GBertrand sur 3 décembre 2011 à 20h27 Contestons (gentiment), mais contestons. Kafka, mesurant environ 1,80m, occupe de toute sa longueur le canapé. Les lois de la perspective font qu’il semble pourtant, en effet, nettement plus petit que Sigmund au premier plan. Mais c’est la loi. Autre point, celui-là de…décoration: il s’agit vraiment du cabinet de Freud (photo prise après la guerre) et exceptée la photographie du Père au-dessus de son fils, rien n’a été modifié (pour une fois !). Le style est donc d’origine et semble correspondre à l’époque.
alain-michel boley sur 3 décembre 2011 à 21h58 Ils donnent des couvrantes chez les psys maintenant ? 😀
GBertrand sur 3 décembre 2011 à 22h09 Oui, ce n’est ni Ikéa ni Knoll, c’est ça: http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Freud_Sofa.JPG
Francis Leplay sur 3 décembre 2011 à 22h12 Il est à parier qu’à un moment Franz Kafka parlera de son père. Belle rencontre.
Brigitte David sur 4 décembre 2011 à 10h27 J’allais le dire Francis, mais différemment. Après la Lettre au Père, il n’avait pas suffisamment craché le morceau?
Brigitte David sur 4 décembre 2011 à 10h31 @Mima… Du temps de Kafka, les femmes prenaient moins de place . Elles étaient moins encombrantes qu’aujourd’hui. Si ça se trouve Kafka n’avait rien à reprocher à sa mère. j’en parlerai à mes enfants…
alain-michel boley sur 4 décembre 2011 à 13h07 Je reviens sur cette mise en espace, ma précédente remarque était par trop elliptique… En dépit du souci que vous avez apporté aux détails, et votre minutie est une constante, en dépit de l’explication sur le rapport de proportion, il n’en reste pas moins que Kafka apparaît hic et nunc démesurément réduit par rapport à la figure de Freud. Que l’écrivain se soit tu lors de sa rencontre avec le père de la psychanalyse n’est pas une raison pour le diminuer… Il a bien eu assez de problèmes comme ça ! 😉
alain-michel boley sur 4 décembre 2011 à 17h42 Excusez-moi, je viens enfin de comprendre : c’est La Métamorphose, de l’écrivain en livre ! 😀
Mima sur 4 décembre 2011 à 18h07 @Brigitte vous voulez dire que les mère du temps de Kafka n’avaient pas le temps d’aller voir un psy. Aujourd’hui elles osent se désencombrer la tête.
Et il a payé la consultation, juste pour rire;par ailleurs, j’aime bien ce montage mais le personnage de Kafka et trop petit par rapport à son analysant.
Trop petit Kafka ? Il n’en est qu’au début de son analyse. Il grandira au fil des séances.
Beaucoup d’humour et de tendresse dans cette image, F
Kafka mis en image… Je reste sur l’interprétation de Jeremy Irons dans le film-titre de Steven Soderbergh ! L’esthétique de votre mise en scène est séduisante dans les détails, mais l’ensemble est par trop kitsch… Il y a le rapport de proportion souligné par Mima, qui crée comme un vide que les cahiers épars ne rempliront pas. Et puis l’analyste devrait s’effacer !
😉
Contestons (gentiment), mais contestons.
Kafka, mesurant environ 1,80m, occupe de toute sa longueur le canapé.
Les lois de la perspective font qu’il semble pourtant, en effet, nettement plus petit que Sigmund au premier plan. Mais c’est la loi.
Autre point, celui-là de…décoration: il s’agit vraiment du cabinet de Freud (photo prise après la guerre) et exceptée la photographie du Père au-dessus de son fils, rien n’a été modifié (pour une fois !). Le style est donc d’origine et semble correspondre à l’époque.
Ils donnent des couvrantes chez les psys maintenant ?
😀
Oui, ce n’est ni Ikéa ni Knoll, c’est ça:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Freud_Sofa.JPG
Il est à parier qu’à un moment Franz Kafka parlera de son père. Belle rencontre.
Et rien sur la mère de Freud?
J’allais le dire Francis, mais différemment. Après la Lettre au Père, il n’avait pas suffisamment craché le morceau?
@Mima… Du temps de Kafka, les femmes prenaient moins de place . Elles étaient moins encombrantes qu’aujourd’hui. Si ça se trouve Kafka n’avait rien à reprocher à sa mère. j’en parlerai à mes enfants…
Je reviens sur cette mise en espace, ma précédente remarque était par trop elliptique… En dépit du souci que vous avez apporté aux détails, et votre minutie est une constante, en dépit de l’explication sur le rapport de proportion, il n’en reste pas moins que Kafka apparaît hic et nunc démesurément réduit par rapport à la figure de Freud. Que l’écrivain se soit tu lors de sa rencontre avec le père de la psychanalyse n’est pas une raison pour le diminuer… Il a bien eu assez de problèmes comme ça !
😉
Excusez-moi, je viens enfin de comprendre : c’est La Métamorphose, de l’écrivain en livre !
😀
@Brigitte vous voulez dire que les mère du temps de Kafka n’avaient pas le temps d’aller voir un psy. Aujourd’hui elles osent se désencombrer la tête.