Apprenti en argentique avec ses labos rouges aux odeurs lourdes de leurs soupes chimiques avant d'évoluer vers le numérique et ses MégaOctets électroniques impalpables et inodores, depuis 50 ans mais toujours Photographe Amateur
Merci Estienne pour cette sensible et fine illustration.
Mais qui aurait mis en doute les qualités des photographies en noir et blanc ? Surtout pas quelqu’un qui, comme moi, aime, pour n’en choisir que deux au hasard, Willy Ronnis et Sebastião Salgado ?
Voilà une superbe photo qui montre, si cela était encore utile, qu’il n’est nul besoin de spectaculaire médiatique pour générer de émotion chez le spectateur et qui illustre toute puissance graphique et nuancée du noir et blanc.
Bravo !
Estienne
sur 20 novembre 2018 à 21h03
@ GBertrand : Tu fais d’habitude dans les monstres maléfiques plutôt que dans les monstres sacrés … quelles références !
@ Isabelle : des gris moins torrides mais la douceur dans ces “situations” ne me paraît pas contre-indiquée … 🙂
@ Blagapart : il faut savoir varier les plaisirs.
@ Pierre G. : Je crois que sur “la vie en gris”, “être gris” est plutôt bien vu.
Merci à tous ! 🙂
@ Estienne : Mais j’aime aussi beaucoup Roland Topor et David Lynch.
Tous deux fréquentaient les monstres et les animaient. Et tous deux, sans pratiquer la photographie “humaniste”, avaient et ont (l’un est toujours vivant) le cœur tendre.
Moi aussi, et je le prouve avec mon petit hommage au grand Sempé, quelques images plus loin.
Matoufilou
sur 21 novembre 2018 à 9h03
Je me joins à tous les cœurs attendris : cette photo est paisible.
Monsieur HR
sur 21 novembre 2018 à 10h30
Avec cette douce photographie, notre regard est amené à se porter toujours un peu plus loin.
Toute de douceur, d’espace, de liberté… Vraiment une très belle photo. Merci Estienne pour cette première image du matin, qui, à l’entrée de l’hiver, appelle déjà à repartir…
brigitte david
sur 27 novembre 2018 à 23h36
Au départ du Vendée Globe, à la question d’un journaliste qui lui demandait s’il n’avait pas peur d’affronter l’Océan Indien, le navigateur Gerry Roufs répondait qu’après avoir descendu le Saint-Laurent en hiver, il n’avait plus peur de l’Indien. C’est donc comme ça le Saint-Laurent? Sur cette belle photo, le fleuve garde ses mystères … lisse et trompeur!
Merci Estienne pour cette sensible et fine illustration.
Mais qui aurait mis en doute les qualités des photographies en noir et blanc ? Surtout pas quelqu’un qui, comme moi, aime, pour n’en choisir que deux au hasard, Willy Ronnis et Sebastião Salgado ?
Toutes ces nuances de gris (50 ?) et cette unique ligne plus foncée … c’est incroyablement zen. J’aime beaucoup.
Après un magnifique sous-bois obscur, une superbe vue d’un fleuve clair.
Voilà une superbe photo qui montre, si cela était encore utile, qu’il n’est nul besoin de spectaculaire médiatique pour générer de émotion chez le spectateur et qui illustre toute puissance graphique et nuancée du noir et blanc.
Bravo !
@ GBertrand : Tu fais d’habitude dans les monstres maléfiques plutôt que dans les monstres sacrés … quelles références !
@ Isabelle : des gris moins torrides mais la douceur dans ces “situations” ne me paraît pas contre-indiquée … 🙂
@ Blagapart : il faut savoir varier les plaisirs.
@ Pierre G. : Je crois que sur “la vie en gris”, “être gris” est plutôt bien vu.
Merci à tous ! 🙂
@ Estienne : Mais j’aime aussi beaucoup Roland Topor et David Lynch.
Tous deux fréquentaient les monstres et les animaient. Et tous deux, sans pratiquer la photographie “humaniste”, avaient et ont (l’un est toujours vivant) le cœur tendre.
Moi aussi, et je le prouve avec mon petit hommage au grand Sempé, quelques images plus loin.
Je me joins à tous les cœurs attendris : cette photo est paisible.
Avec cette douce photographie, notre regard est amené à se porter toujours un peu plus loin.
Toute de douceur, d’espace, de liberté… Vraiment une très belle photo. Merci Estienne pour cette première image du matin, qui, à l’entrée de l’hiver, appelle déjà à repartir…
Au départ du Vendée Globe, à la question d’un journaliste qui lui demandait s’il n’avait pas peur d’affronter l’Océan Indien, le navigateur Gerry Roufs répondait qu’après avoir descendu le Saint-Laurent en hiver, il n’avait plus peur de l’Indien. C’est donc comme ça le Saint-Laurent? Sur cette belle photo, le fleuve garde ses mystères … lisse et trompeur!