Ne commentez pas cette photo, elle sert juste d’illustration au sondage que je voudrais faire parmi les participants de LVEG. Alors si vous pouvez répondre à ces quelques questions, dans un cadre d’usage “noir & blanc” :

Série 1 : vous utilisez un écran ordinaire

1.1 РAvez-vous calibr̩ votre ̩cran avec une sonde ?
1.2 – Si oui : avec quelle sonde et de quel genre d’écran s’agit-il ? L’écran d’un portable ou d’un ordinateur tout-en-un, un écran externe ?
1.3 – Si oui suite : les gris de vos photos dé-saturées apparaissent-ils réellement gris à l’écran ou avec un léger (et faux) virage apparent ?
1.4 – Si oui suite suite : pouvez-vous nous faire un petit retour d’expérience ?

Série 2 : vous utilisez un écran “art graphique”

2.1 – Lequel ?
2.2 – L’avez-vous recalibré avec une sonde ?
2.3 – En usage N&B, avez-vous constaté un réel apport (comme une meilleure répartition des nuances de gris) ? Est-ce que l’investissement vous semble justifié ?
2.4 – Réglez-vous vos photos avec des gris sur plus de 8 bits ? Si oui, pourriez-vous détailler votre équipement (outre l’écran) ?
2.5 – Pouvez-vous nous faire un petit retour d’expérience ?




Tristan D.

Photographe amateur, amateur de photographie. Surtout attiré par la prise de vue, le regard. Attrait particulier pour le N&B. A suivre ici : Station 32. Et aussi sur Facebook ou Twitter
38 Commentaires
  1. Et pour montrer l’exemple, je réponds le 1er :

    1.1 : Oui.
    1.2 : DataColor Spyder 4 sur écran de PC portable “multimédia” mat.
    1.3 : Avec un léger virage.
    1.4 : J’ai le sentiment que c’est plus juste, après quelques tirages papier qui m’ont permis de comparer le résultat. Sauf peut-être dans les extrêmes, vers le blanc et le noir. Mais j’ai du mal à me faire une réelle idée. C’est un peu ce qui m’a inspiré ce sondage 😉

  2. Tout dépend de l’utilisation.
    J’ai investi il y a quelques années dans un écran “art graphique” suite à l’achat d’une imprimante pigmentaire. Faisant beaucoup de tirages -pour moi et pour les autres- je pourrais difficilement m’en passer. Le contrôle est parfait. L’écran est étalonné en luminosité pour le papier (100 Cd/M2) et en TC sur des valeurs XY me donnant des noirs neutres sur tout le spectre). J’ai sur le papier ce que je vois à l’écran. Des teintes vives aux dégradés les plus subtils. C’est un vrai confort de travail. Après, pour une utilisation uniquement écran ou tirage occasionnel, une dalle classique peut suffire. J’utilise un NEC Spectraview, étalonné avec une DTP94 et ColorEyes Display Pro. Coté process, je développe mes raw Nikon sous NX2, version doux et neutre, avec des ombres ouvertes. Et traite mes conversions N&B sous LR à partir de tiff 16bits. Mes set de traitements sont ou bien perso, ou bien des packs de simulations de film que l’on trouve à la vente sur le net.

  3. Donc si je résume, l’intérêt est réel, même pour du N&B, mais essentiellement pour la fidélité des tirages papier (il faut donc que le volume de tirage justifie l’investissement).
    Quel est l’intérêt de passer par NX2 avant LR ?

  4. Les intérêts sont nombreux… J’ai eu une période assez longue de travail exclusivement sur Lr, principalement parce que j’utilisais des boitiers multiples et pas toujours au top en terme de dynamique et de rapport signal/bruit. Lr me permettait des résultats tout à fait honorables. Suite à un projet d’édition, j’ai repris par curiosité quelques développements difficiles sous NX2 pour constater que le dématriçage était bien meilleur. Rendu de valeur, chromie, correction des AC dès l’ouverture du fichiers… etc…etc. J’ai repris le développement de près de 600 fichiers raw. A mon sens, Lr est un excellent porteur de set de traitement en aval du développement pour appliquer une intention de rendu, il est moins performant, bien qu’universel, sur l’ouverture des fichiers bruts.

  5. Du matériel informatique vieillissant puis ma vieille imprimante (10 ans d’âge) qui me lâche … bref, réinvestir pour continuer mes développements photo. Donc info + un très bon écran (pas “art graphique” mais très bon) et peu de temps après une imprimante (choix long et difficile) pour m’arrêter sur un canon Pro 10 pigmentaire : j’aime retrouver sur papier mes meilleures photos. Mais le bricolage que je pratiquais avant pour imprimer finissait par me coûter cher en encre et papier donc j’ai décidé d’étalonner tout ça (écran et imprimante) avec le système Colormunki photo.
    Donc étalonnage de l’écran ; la différence la plus visible a été une baisse de luminosité. Mais je ne trouve pas non plus de dominante en N&B. Puis l’imprimante pour les trois principaux papiers que j’utilise et là, un vrai plaisir de retrouver sur le papier les couleurs, les nuances, les tons de gris, de très beaux noirs et des blancs lumineux. En veillant à bien choisir le papier en fonction du rendu souhaité (perlé satiné, baryté brillant ou mat).
    Par contre, je prends le temps de regarder parfois au travail LVEG sur un écran un peu trop lumineux mais difficilement réglable et je m’abstiens souvent de commenter certaines photos car le rendu n’est pas suffisant pour certains tirages …
    Étapes de développement : LR puis pour finir certaines opérations PS et notamment pour les tirages.

  6. Donc Estienne, comme Olivier, une motivation de “très bon écran” principalement tirée par l’impression papier…

  7. Exact en ce qui me concerne !

  8. @ Tristan: je cite un de tes commentaires récents .
    “J’ai compris d’où vient mon impression de changement car là, elle est redevenue un poil bouchée au niveau des visages : c’est l’éclairage chez moi 😉 Là il y a plein de soleil et ça se ressent dans la perception. La photo numérique est déjà sensible aux écrans, si en plus il faut maîtriser la luminosité du lieu où l’on est… 🙂 “

  9. Pour revenir sur mon commentaire, le problème est de trouver par l’intermédiaire du calibrage la cohérence la plus précise entre ce que j’ai à l’écran et ce qui sort de mon imprimante. La difficulté est qu’un écran est toujours plus lumineux qu’une impression et donc je corrige par un calque de réglage (au moment de l’impression) mon image à l’écran pour tenir compte de ce décalage. Ce calque de réglage est réutilisé tel quel pour mes impressions suivantes (parfois avec un léger ajustement).

  10. Fondamentalement il y aura toujours une différence de rendu entre une image rétro-éclairée sur écran et un tirage que l’on regarde par réflexion sur un papier. Un étalonnage bas en luminosité, entre 90 et 100 Cd va réduire cet écart mais le jeu du tirage consiste à l’anticiper.
    J’ai remarqué aussi que le jet d’encre est aussi assez capricieux aux conditions de lumière pour son observation. Un tirage argentique reste claquant et lumineux sous illuminant pauvre (fluo par exemple) et ce même mal éclairé. Le jet d’encre nécessite de la lumière en quantité et en qualité. C’est toute la différence entre des cristaux qui noircissent dans l’émulsion du papier et une fine couche de pigments déposés à la surface d’un papier.

  11. Je suis assez d’accord avec le dernier commentaire d’Olivier, de toute manière cela me semble bien illusoire avec avec une image de 750 pixels en 72 DPI, car il y’a bien une interpolation et il faudrait aussi tenir compte de l’offset, de l’hélio, pour cela les suisses sont très forts pour la sérigraphie les français tiennent la corde. Quant aux utilisateurs de LVEG, je suis persuadé qu’il n’y a pas 2 moniteurs réglés de manière identique.

  12. Qui a une ampoule lumière du jour dans son plafonnier ? 😉

  13. Un peu de technique! pourquoi-pas, allons-y…
    1.1 oui
    1.2 X-Rite Eye-one Match 3. Un modèle ancien mais qui fonctionne donc aucune raison d’en changer. Ecran externe HP, un conseil de Réponses photo lors d’un test comparatif.Performant je trouve (mais je n’ai pas essayé d’écran art graphique).
    1.3 Très satisfaisant.Les valeurs d’étalonnage sont ceux d’un test de la même sonde, dans RP toujours. Noir et blanc neutre sans virage détectable. En prime un grand confort de travail, je peux y rester des heures sans fatigue visuelle.
    1.4 Même si je fais de la photo depuis … longtemps, je suis quasiment un débutant en numérique: je photographie en raw depuis 2 ans seulement et j’imprime moi-même depuis quelques mois … et ce n’est pas simple. J’utilise les profils fabricants (j’ai fait faire une fois un profil sur mesure chez Métairie, aucune différence visible!). Pour examiner les tirages j’ai une Grafilite “couleur du jour” de Colour Confidence: bof, je préfère la fenêtre. Pour une expo récente j’ai testé uniquement les papiers Hahnemühles car on trouve des pochettes de test avec 5 ou 6 papiers différents. Il y a toujours des décalages entre l’écran et le papier suivant la texture et la couleur du papier. Pour la couleur pas trop de problèmes mais pour le noir et blanc quelle galère! Pour chaque série j’imprime d’abord un essai sur A4, un fragment significatif avec plusieurs réglages. Pour l’instant j’ai obtenu des résultats vraiment satisfaisants avec 2 ou 3 papiers en mat et baryté mais je suis preneurs de retours d’expériences sur le papier, surtout pour le noir et blanc. Sinon ça risque d’être long et … ruineux!

  14. Pas d’ampoule “lumière du jour” dans mon plafonnier mais je suis en train d’étudier la chose car aujourd’hui, quand je veux faire des tirages en toute sécurité, je les fais de jour et je vais regarder (comme JLB) à la fenêtre le résultat avant d’aller plus loin. Donc le soir, pas d’impression. Et ceci malgré un calibrage de mon imprimante qui me permet une grande sécurité en matière de couleurs et de tonalités mais le niveau de lumière reste artisanal (malgré mon calque de réglage que je transporte d’une impression à l’autre).
    Pour les papiers, je travaille avec les “Lumière” perlé (aspect satiné bien blanc), le baryté (plus jaune) et un mat de chez MOAB mais je n’ai pas la référence sous les yeux. Pour ces trois papiers, avec ma sonde et pour mon imprimante, j’ai créé les profils correspondants et le rendu couleurs est excellent (ni plus ni moins !)Reste ce problème de niveau de lumière …

  15. Pour le matériel: Eizo flexscan (non “art graphique” mais satisfaisant à mon avis) calibré avec une sonde monaco optix XR et ColorEyes Display et une imprimante Epson R2400 A3+. Je n’imprime que du n&b mais avec obligation de faire de nombreux bouts d’essai et sans comprendre comment communiquent l’ordinateur et l’imprimante !
    @Etienne: le système Colormunki permet-il une bonne correspondance entre l’écran et le tirage n&b et la canon Pro 10 imprime-t-elle sans métamérisme ?

  16. Le système Colormunki permet de calibrer l’écran et, pour l’imprimante, le logiciel te fait imprimer (sans aucune correction) une première page de test que tu scannes, qu’il analyse puis une deuxième page que tu scannes et qu’il analyse à nouveau et il te sort un profil pour ton imprimante et le papier que tu as utilisé. Si tu veux utiliser un autre papier, tu dois créer un autre profil pour celui-là et donc tu recommences la procédure “imprimante”. Pour mes trois papiers, j’ai donc fait chaque fois deux impressions que j’ai scanné et j’ai dans PS mes trois profils à disposition en fonction du papier que je souhaite utiliser. Donc reste le problème de l’éblouissement d’un écran face à l’aspect “neutre” du papier et donc l’ajustement de dernière minute sur l’impression (que je réalise par mon calque de réglage dans PhotoShop).
    D’autre part, pas de métamérisme avec la Pro 10. Impression impeccable même sans pousser à “impression haute” ce que je fais pour des petits formats ou pour certains A4 (elle imprime des A3+).

  17. Avant de me lancer dans le calibrage écran et imprimante, j’ai potassé avec beaucoup d’intérêt le site suivant : http://www.guide-gestion-des-couleurs.com/calibrer-ecran.html
    Une mine d’information sur le calibrage écran et imprimante et sur la théorie correspondante. Un site à consulter d’urgence quand on se pose les questions que je lis ici aujourd’hui ! 😉

  18. Pour le tirage en soirée, j’utilise une lampe de luminothérapie, une Dayvia 072. Ce n’est pas parfait mais suffisant pour tirer dans de bonnes conditions. Et je peux m’en servir durant l’hivers normand, de septembre à avril !

  19. Pas mécontent d’avoir ouvert ce fil 🙂

    @Estienne : la méthode d’Olivier pour baisser de luminosité me semble un peu compliquée à maîtriser. Ton calque de réglage joue sur quel(s) paramètre(s) ? Je n’en ai pas l’usage vu que je n’imprime pas moi-même (et vos témoignages ne me donnent pas très envie), mais ça m’intéresse.

    @Loïs : Que veux-tu dire ? Que c’est peine perdue ? Probablement un peu vrai… 🙂 Mais alors que l’on jauge nos photos sur LVEG dans ces très mauvaises conditions, que valent nos appréciations ? (Non, je n’ouvre pas un nouveau débat)

    @JLB : Mais pourquoi fait-on encore du N&B ??? 😉

    Il en a qui confient leurs tirages à un labo ?
    Avec quels étalonnage/réglages préalables, quels résultats, où ?

  20. Je vais peut-être faire hurler ces dames mais je ne conçois pas la photo sans aller jusqu’au tirage papier : quand la feuille ressort de l’imprimante lentement en montrant progressivement l’image, c’est comme un accouchement ! On a bossé sur le sujet et puis le voilà, le voilà vraiment, en “chair et en os” et c’est vraiment un moment spécial. Bon, du calme, j’ai vu naître mes trois fils et c’est incomparable mais … il y a de ça ! Essayez donc et vous verrez ! 😉
    Mon calque de réglage est une courbe (“ctrl + M” dans PS) où j’ai un peu tiré vers le haut (dans le milieu et un peu dans les tons clairs) sans bouger quasiment la partie basse (les tons sombres) …

  21. Votre Å“il, est diifférent d’un autre, votre sensation d’un rouge par exemple n’ est pas identique à la perception d’un autre. Vous pouvez dire c’est plus clair, ou plus foncé, mais votre cerveau est incapable de mesurer les composantes RVB ou CMJN ou mesurer le contraste. Le seul outil qui permet une mesure précise de chaque pixel dans un fichier natif sans compression est l’outil pipette dans photoshop, celui qu’utilise tous les chromistes, lié à un profil ICC spécifique à une machine . Le reste n’est que littérature. Il faut comprendre également la matrice de compression JPG pour savoir que cet algorithme est destructif et par conséquence ce test constitue un très sérieux “biais de terrain” comme l’on dit en statistique.

  22. Merci Etienne, Tristan un fil non dénué d’intérêt !

  23. @Estienne : je ne te suis pas dans la métaphore de l’imprimante… 😉

    @JMS : de quel test parles-tu ?

  24. A combien revient le plein sur la canon pro 10 ?

    l’imprimante que j’avais avant ( A4 canon 5 cartouches moyen de gamme des années 2005 ) me donnait des noirs parfaits.
    J’ai maintenant une canon de M….. MG8200 avec un écran viewsonic mal calibré ( ma sonde spyder 3 doit être mauvaise) et j’ai toujours eu du métamérisme depuis quelques années.

    vue la somme investie au moment des renouvellement de matériel j’ai été un peu ecoeuré.

  25. @& Tristan : je suis un émotif qui essaie de se contrôler … 😉 mais parfois, je me laisse aller et c’est bon pour mes images !

  26. @ Pingupingu : je n’ai pas le prix sous les yeux mais ce n’est pas donné d’où ma recherche de calibrage pour éviter absolument les ratés … J’essaie de t’en dire plus si je retombe sur ma dernière facture !

  27. @Estienne : si c’est pour une bonne cause alors… 😉

    Aux autres lecteurs : exprimez-vous, répondez à ce “sondage” !!!

  28. Quand je vois le nombre de termes techniques, inconnus pour moi, qui émaillent ce fil, je réalise que j’ai du louper quelques mises à jour depuis mon passage au numérique! … Pour ma part je retiens surtout le commentaire d’Estienne, je n’aurais pas osé aller jusqu’à l’image de l’accouchement mais il y a de ça. Pour ma part je retrouve les sensations et émotions de l’impression de gravure en taille-douce, là encore un moment privilégié ou l’on découvre le résultat final de toute une démarche.

  29. @ JLB : tu nous as démontré qu’il n’est pas nécessaire de connaitre tous ces termes techniques pour faire de bonnes photos, c’est juste nécessaire pour ne pas trop gâcher de temps et d’argent dans une démarche (l’impression) qui est essentielle pour moi (comme je l’ai dit plus haut) … 😉

  30. Viendez, les autres !!!
    Même si vous ne faîtes que 10% de ce que les plus aguerris font, votre réponse est intéressante, car au regard des photos que vous publiez, elles permettent de se rendre compte, à l’écran, de l’apport technique (ou pas) de ce que chacun utilise…

  31. je viens de lire l’intégralité de ce fil, une conclusion s’impose : ça va me coûter un bras !
    pour le test initial le 1 sans bardigner.
    pour le reste je ne peux guère m’aligner : un unique boîtier moyenne gamme, développement des jpg (raw parfois avec silkpix) sur une version ancienne de iphoto (LR4 depuis peu), un MacBookPro de 2011 et des impressions NB sur Canson Satin RC avec une Canon de m…
    bref de l’amateur très amateur qui se dit qu’il va devoir se remuer s’il veut proposer des photos qualitativement plus intéressantes.

  32. @Adrien, les points essentiels selon moi : un bon capteur surtout dès lors que l’on sort des conditions de lumières idéales. Mais juste pour la polyvalence, car l’on peut faire de très bonnes photos avec un capteur médiocre, avec de la lumière 😉 Ensuite, shooter systématiquement en RAW. C’est de loin ce qui laisse la plus grande latitude d’interprétation ensuite. Un bon logiciel et de l’apprentissage. Un écran pas trop mauvais, étalonné. Avec ça on fait déjà beaucoup 😉

  33. Ah et j’oubliais : de bons “cailloux” ! C’est là que ça coûte… 🙂

  34. A la question c’est : non

    Mes tirages correspondent à ce que j’ai sur écran, donc je n’en ai pas ressenti le besoin.

    Pour le capteur, moi c’est de la pellicule, donc pas de raw et cie, parfois du tirage sous l’agrandisseur mais la majeur partie est du scan de négatif.

  35. @Grains de sels : mais pour éditer “Planches contacts”, qui je suppose part chez un imprimeur ?

  36. @ Tristan : Le test, c’est l’image que tu proposes, j’aurais dû dire l’image test.
    Ces commentaires doivent faire doucement sourire les pro. des labos et de l’imprimerie.
    “Les attentes en qualité d’impression sont diverses selon que l’on se place du côté des lecteurs, des annonceurs, des imprimeurs, de la rédaction ou de l’éditeur. Par ailleurs, il faut souligner que seuls les paramètres mesurables peuvent être améliorés…” C’est l’introduction d’un article sérieux du CERIG (Centre d’Etude et de Recherche de l’Industrie Graphique)
    Les paramètres mesurables sont plus bas dans l’article à cet URL :
    http://cerig.pagora.grenoble-inp.fr/Note/2008/qualite-impression-journaux.htm
    Dans ce cas précis, il s’agit de l’offset, mais les données de densitométrie et de colorimétrie sont valables pour l’ensemble des procédés de reproduction.

  37. Les lampes de luminothérapies aident surtout à éviter la déprime quand on voit le résultat du tirage sortir de l’imprimante 😉 🙂

  38. Pourquoi les inuits, n’utilisent jamais les lampes de luminothérapies ?
    Parce que cela attire les ours polaires…

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