bernard levq sur 5 mai 2010 Ă 21h37 J’adore cette lucarne dans ce grand tableau de verdure. Peut-ĂȘtre aurais-je fait en sorte que cette branche de marronnier ne soit pas dans le premier plan.
IrĂšne de Groot sur 5 mai 2010 Ă 22h47 Merci Bernard! Oui, cette branche… Mais je n’avais pas de sĂ©cateur sur moi! đ
Bruno H sur 6 mai 2010 Ă 6h52 Fort heureusement IrĂšne que tu n’avais pas de sĂ©cateur en poche, cette branche participe bien Ă l’ensemble, observer sans dĂ©ranger. Par contre si tu avais une tronçonneuse tu aurais pu Ă©liminer le tronc juste devant Arno đ
IrĂšne de Groot sur 6 mai 2010 Ă 8h30 @ Bernard,non, ce n’est pas Arno, bien que nous avons habitĂ© le mĂȘme quartier pendant des annĂ©es… @ Bruno, je trouve que l’arbre ferme l’image et puis, je dĂ©teste les tronçonneuses… đ
bernard levq sur 6 mai 2010 Ă 9h05 lĂ je suis encore d’accord avec IrĂšne (2e fois en quelques jours, diable) de plus il apporte une profondeur grace Ă sa diffĂ©rence de densitĂ© vis-Ă -vis de l’arriĂšre plan baignĂ© de lumiĂšre. Histoire de grattouiller un peu, bien que çà ne soit qu’un infime dĂ©tail dans cet aĂ©rien “tableau dans le tableau” dont on respire gĂ©nĂ©reusement toute la chlorophylle… je me serais un peu dĂ©placĂ© sur la gauche… bien que maintenant Ă force de prendre le temps… ? đ
jg sur 6 mai 2010 Ă 10h12 Quitte Ă jouer avec cette branche de marronier et ce tronc de droite, un carrĂ© pouvait leur faire prendre une courbe “exponentielle”…
Dacko sur 6 mai 2010 Ă 11h10 Moi j aime cette photo sans passer par un paysagiste ou par un dĂ©placement quelconque ….joli rendu ” Bravo IrĂšne” đ
jean-Marc Silvestre sur 6 mai 2010 Ă 13h10 Toile ou miroir reflĂ©tant la forĂȘt ? L’usage du sĂ©cateur et de la tronçonneuse ne s’impose pas đ Je ne suis pas sĂ»r que le bucheron apporte un plus, sans ses outils đ Belle image.
CsiKour sur 6 mai 2010 Ă 16h28 Je suis partagĂ©. Le sujet est rĂ©ellement Ă©tonnant et la mise en perspective de la forĂȘt dans le tableau originale. Mais l’homme (le peintre ?) regarde Ă l’opposĂ© de la toile et nous entraine vers l’extĂ©rieure de l’image. Que voit-il ? Il nous distrait. Qu’il retourne son visage et tout fonctionne… Belle gamme tonale, et d’accord pour le sĂ©cateur.
solong sur 6 mai 2010 Ă 19h33 Pas d’accord! Je vois une image trĂšs dĂ©calĂ©e, drĂŽle, comme un jeu de piste, que j’aime ainsi: idem Dacko: rangez le sĂ©cateur! D’abord cette forĂȘt dense est trĂšs belle et le rendu trĂšs rĂ©ussi. Le premier plan apporte une profondeur qui accentue, une fois franchie, l’impression de buter sur ce mur de verdure… Cette branche me parait fort bienvenue pour placer les deux Ă©lĂ©ments qui font basculer l’image dans ce “dĂ©calage”… Le tableau (cette lucarne comme dit bernard) ouvre un chemin possible lĂ ou l’on bute sur la forĂȘt dense. Mais c’est un peu trop beau et sa prĂ©sence ici, tellement improbable, incite Ă se mĂ©fier: un traquenard?…On cherche ailleurs… Le regard glisse vers l’homme. Le peintre! ça rassure, c’est logique, sa prĂ©sence rend celle du tableau moins absurde. On s’y attarde, mais voici que ça cloche Ă nouveau: plutĂŽt une allure de peintre en bĂątiment. Et que fait-il lĂ ? que regarde t’ il? une autre issue peut ĂȘtre? Son regard hors du cadre ouvre un espace, d’autre possibles… etc… Voici IrĂšne comment je la reçoit, avec ce plaisir la… Ă m’y promener …:) Et pour rigoler encore, et peut -ĂȘtre relancer le dĂ©bat de l’influence du titre… tentez pour voir de l’appeler “Pause pipi”… vous verrez que ces messieurs abandonneront ilico toute vellĂ©itĂ© de sortir un sĂ©cateur…! đ
IrĂšne de Groot sur 6 mai 2010 Ă 20h38 Merci Ă tous! Merci beaucoup solong! je suis tout Ă fait d’accord avec “image dĂ©calĂ©e”, et “jeu de piste”, c’est Ă peu prĂšs ce que j’ai ressenti en dĂ©couvrant cette scĂšne, il y a deux jours. La vue de ce chevalet plantĂ© dans la nature m’est apparue comme un cadeau fait Ă l’oeil du photographe… l’homme au bonnet est en effet le peintre, il faisait visiblement une pose qui s’est peut-ĂȘtre terminĂ©e avec un pipi! Le titre est un clin d’oeil Ă un de mes envois prĂ©cĂ©dent… Et au titre d’un trĂšs beau livre: “Un balcon en forĂȘt” de J. Gracq
bernard levq sur 7 mai 2010 Ă 0h11 IrĂšne tu aurais du l’appeler ainsi ta photo ! Lucarne ou balcon peut m’importe tout ceci n’Ă©tant qu’une ouverture pour un rĂȘve, un autre possible, une autre perspective. Dans mon premier com j’ai parlĂ© de la brnache de marronnier uniquement parce elle masquait les pieds du chevalet… quel dĂ©lire de sĂ©cateur et de tronçonneuse.. pfftt Solong, tu es trop grivois parfois, bien que je l’eusse remarquĂ©, je ne pensais pas que ce serait toi qui le signalerait ! Tout fout l’camp ! đ
flo g sur 7 mai 2010 Ă 0h47 j’aime beaucoup cette photo dĂ©calĂ©e.. on peut mĂȘme s’amuser Ă imaginer que le tableau est un miroir..
christian B. sur 9 mai 2010 Ă 17h03 .. moi aussi, je ne peux m’empĂȘcher d’imaginer que le peintre fait la pause-p*p*… Pardonnez moi, mais j’y suis revenu Ă plusieurs reprises et chaque fois, c’est la question que je me pose.. ; je dois avoir un esprit facĂ©tieux. A part cela, Ă©tant un fervent admirateur de Julien Gracq je ne peux qu’apprĂ©cier votre photo, IrĂšne.
J’adore cette lucarne dans ce grand tableau de verdure.
Peut-ĂȘtre aurais-je fait en sorte que cette branche de marronnier ne soit pas dans le premier plan.
Merci Bernard!
Oui, cette branche… Mais je n’avais pas de sĂ©cateur sur moi! đ
Tout comme bernard levq
IrĂšne, c’est Arno Ă droite ? ;))
Fort heureusement IrĂšne que tu n’avais pas de sĂ©cateur en poche, cette branche participe bien Ă l’ensemble, observer sans dĂ©ranger. Par contre si tu avais une tronçonneuse tu aurais pu Ă©liminer le tronc juste devant Arno đ
@ Bernard,non, ce n’est pas Arno, bien que nous avons habitĂ© le mĂȘme quartier pendant des annĂ©es…
@ Bruno, je trouve que l’arbre ferme l’image et puis, je dĂ©teste les tronçonneuses… đ
lĂ je suis encore d’accord avec IrĂšne (2e fois en quelques jours, diable) de plus il apporte une profondeur grace Ă sa diffĂ©rence de densitĂ© vis-Ă -vis de l’arriĂšre plan baignĂ© de lumiĂšre.
Histoire de grattouiller un peu, bien que çà ne soit qu’un infime dĂ©tail dans cet aĂ©rien “tableau dans le tableau” dont on respire gĂ©nĂ©reusement toute la chlorophylle… je me serais un peu dĂ©placĂ© sur la gauche… bien que maintenant Ă force de prendre le temps… ? đ
Quitte Ă jouer avec cette branche de marronier et ce tronc de droite, un carrĂ© pouvait leur faire prendre une courbe “exponentielle”…
Moi j aime cette photo sans passer
par un paysagiste ou par un déplacement
quelconque ….joli rendu
” Bravo IrĂšne” đ
Toile ou miroir reflĂ©tant la forĂȘt ?
L’usage du sĂ©cateur et de la tronçonneuse ne s’impose pas đ
Je ne suis pas sĂ»r que le bucheron apporte un plus, sans ses outils đ
Belle image.
Je suis partagĂ©. Le sujet est rĂ©ellement Ă©tonnant et la mise en perspective de la forĂȘt dans le tableau originale. Mais l’homme (le peintre ?) regarde Ă l’opposĂ© de la toile et nous entraine vers l’extĂ©rieure de l’image. Que voit-il ? Il nous distrait. Qu’il retourne son visage et tout fonctionne…
Belle gamme tonale, et d’accord pour le sĂ©cateur.
Pas d’accord! Je vois une image trĂšs dĂ©calĂ©e, drĂŽle, comme un jeu de piste, que j’aime ainsi: idem Dacko: rangez le sĂ©cateur!
D’abord cette forĂȘt dense est trĂšs belle et le rendu trĂšs rĂ©ussi. Le premier plan apporte une profondeur qui accentue, une fois franchie, l’impression de buter sur ce mur de verdure… Cette branche me parait fort bienvenue pour placer les deux Ă©lĂ©ments qui font basculer l’image dans ce “dĂ©calage”…
Le tableau (cette lucarne comme dit bernard) ouvre un chemin possible lĂ ou l’on bute sur la forĂȘt dense. Mais c’est un peu trop beau et sa prĂ©sence ici, tellement improbable, incite Ă se mĂ©fier: un traquenard?…On cherche ailleurs…
Le regard glisse vers l’homme. Le peintre! ça rassure, c’est logique, sa prĂ©sence rend celle du tableau moins absurde. On s’y attarde, mais voici que ça cloche Ă nouveau: plutĂŽt une allure de peintre en bĂątiment. Et que fait-il lĂ ? que regarde t’ il? une autre issue peut ĂȘtre? Son regard hors du cadre ouvre un espace, d’autre possibles…
etc…
Voici IrĂšne comment je la reçoit, avec ce plaisir la… Ă m’y promener …:)
Et pour rigoler encore, et peut -ĂȘtre relancer le dĂ©bat de l’influence du titre… tentez pour voir de l’appeler “Pause pipi”… vous verrez que ces messieurs abandonneront ilico toute vellĂ©itĂ© de sortir un sĂ©cateur…! đ
pardon, “… comment je la reçois” ( ah la conjugaison! đ )
Merci Ă tous!
Merci beaucoup solong! je suis tout Ă fait d’accord avec “image dĂ©calĂ©e”, et “jeu de piste”, c’est Ă peu prĂšs ce que j’ai ressenti en dĂ©couvrant cette scĂšne, il y a deux jours. La vue de ce chevalet plantĂ© dans la nature m’est apparue comme un cadeau fait Ă l’oeil du photographe…
l’homme au bonnet est en effet le peintre, il faisait visiblement une pose qui s’est peut-ĂȘtre terminĂ©e avec un pipi!
Le titre est un clin d’oeil Ă un de mes envois prĂ©cĂ©dent… Et au titre d’un trĂšs beau livre: “Un balcon en forĂȘt” de J. Gracq
IrĂšne tu aurais du l’appeler ainsi ta photo !
Lucarne ou balcon peut m’importe tout ceci n’Ă©tant qu’une ouverture pour un rĂȘve, un autre possible, une autre perspective.
Dans mon premier com j’ai parlĂ© de la brnache de marronnier uniquement parce elle masquait les pieds du chevalet… quel dĂ©lire de sĂ©cateur et de tronçonneuse.. pfftt
Solong, tu es trop grivois parfois, bien que je l’eusse remarquĂ©, je ne pensais pas que ce serait toi qui le signalerait ! Tout fout l’camp ! đ
j’aime beaucoup cette photo dĂ©calĂ©e.. on peut mĂȘme s’amuser Ă imaginer que le tableau est un miroir..
.. moi aussi, je ne peux m’empĂȘcher d’imaginer que le peintre fait la pause-p*p*… Pardonnez moi, mais j’y suis revenu Ă plusieurs reprises et chaque fois, c’est la question que je me pose.. ; je dois avoir un esprit facĂ©tieux.
A part cela, Ă©tant un fervent admirateur de Julien Gracq je ne peux qu’apprĂ©cier votre photo, IrĂšne.
… Une autre!