Variations sur le thème de la fenêtre. Faut il chercher les différences ce qui apparaît, ce qui disparaît; l’état du bâtiment …) ou bien au contraire s’attarder sur les permanences (le jeu de l’intérieur / l’extérieur; la lumière …) ?
Peut on espérer une troisième publication sur le thème ?
@ M.RVR non hélas il n’y a que ces 2 photos dans cette vieille maison .
Matoufilou
sur 3 septembre 2024 à 15h42
Je songe presque plus encore à Emmanuelle devant cette fenêtre et les plis de ce rideau que devant le fauteuil en rotin de la vue précédente.
Si tout est perdu, il reste le souvenir, comme un soupir… “Tu es en somme / devant les hommes / comme un soupir / sur leur désir.”
Je ne sais pourquoi, l’impression de revenir aux origines d’LVEG.
@ Matoufilou merci , effectivement je me souviens de mettre demander ce qu’il avait bien pu se passer jadis , dans cette belle lumière , derrière ce rideau vaporeux .
Il restait dans cette chambre une atmosphère très douce , presque d’érotique .
(PS : pourquoi les origines d’LVEG?)
Matoufilou
sur 3 septembre 2024 à 16h36
Je fantasme des débuts d’LVEG aux vaporeux un peu flous. C’est ainsi que je voyais le site au départ. J’y suis arrivé par Freddy Rapin et Louise Marquise, dont l’érotisme soft était une sorte de marque de fabrique.
Estienne
sur 3 septembre 2024 à 16h59
La douceur de la lumière produit une belle palette de gris. Ces voiles de rideau, comme les draps de lit froissés déclenchent des rêves érotiques et cela me semble très normal et évident. Superbe !
Je te comprends , je suis aussi un peu nostalgique de cette époque , je suis arrivé en 2010 sur LVEG.
Parfois j’aimerai pouvoir fouiller dans les archives de LVEG plus facilement .
Oui je me souviens aussi de Louise Marquise , mais aussi de beaucoup d’autres …
Nous retrouvons ici des admirateurs de l’époque d’Emmanuelle. Ce rideau me donne envie de regarder ce qui se cache derrière ou de quoi nous protègent ces rideaux. Le traitement de la lumière attire l’œil vers cette fenêtre qui est la pièce maitresse des lieux.
Franville
sur 4 septembre 2024 à 8h21
Après le marasme des mois de Juillet et Août, le site se réveille.
L’ambiance vire aussi vite que les saisons; d’un état apathique, le site s’enflamme…Caliente!
Décidément, ce film aura imprégné les esprits ainsi sur les draps qui en gardent un tendre souvenir.
Franville
Variations sur le thème de la fenêtre. Faut il chercher les différences ce qui apparaît, ce qui disparaît; l’état du bâtiment …) ou bien au contraire s’attarder sur les permanences (le jeu de l’intérieur / l’extérieur; la lumière …) ?
Peut on espérer une troisième publication sur le thème ?
@ M.RVR non hélas il n’y a que ces 2 photos dans cette vieille maison .
Je songe presque plus encore à Emmanuelle devant cette fenêtre et les plis de ce rideau que devant le fauteuil en rotin de la vue précédente.
Si tout est perdu, il reste le souvenir, comme un soupir… “Tu es en somme / devant les hommes / comme un soupir / sur leur désir.”
Je ne sais pourquoi, l’impression de revenir aux origines d’LVEG.
@ Matoufilou merci , effectivement je me souviens de mettre demander ce qu’il avait bien pu se passer jadis , dans cette belle lumière , derrière ce rideau vaporeux .
Il restait dans cette chambre une atmosphère très douce , presque d’érotique .
(PS : pourquoi les origines d’LVEG?)
Je fantasme des débuts d’LVEG aux vaporeux un peu flous. C’est ainsi que je voyais le site au départ. J’y suis arrivé par Freddy Rapin et Louise Marquise, dont l’érotisme soft était une sorte de marque de fabrique.
La douceur de la lumière produit une belle palette de gris. Ces voiles de rideau, comme les draps de lit froissés déclenchent des rêves érotiques et cela me semble très normal et évident. Superbe !
Je te comprends , je suis aussi un peu nostalgique de cette époque , je suis arrivé en 2010 sur LVEG.
Parfois j’aimerai pouvoir fouiller dans les archives de LVEG plus facilement .
Oui je me souviens aussi de Louise Marquise , mais aussi de beaucoup d’autres …
Nous retrouvons ici des admirateurs de l’époque d’Emmanuelle. Ce rideau me donne envie de regarder ce qui se cache derrière ou de quoi nous protègent ces rideaux. Le traitement de la lumière attire l’œil vers cette fenêtre qui est la pièce maitresse des lieux.
Après le marasme des mois de Juillet et Août, le site se réveille.
L’ambiance vire aussi vite que les saisons; d’un état apathique, le site s’enflamme…Caliente!
Décidément, ce film aura imprégné les esprits ainsi sur les draps qui en gardent un tendre souvenir.
Franville