Je m’étonnais de ne plus les voir depuis quelques temps, les mamies qui aimaient à s’asseoir ici par toutes les météos… Je viens d’apprendre que deux sur cinq sont parties cet hiver et que les trois survivantes n’ont plus le cœur de revenir s’asseoir dans ce lieu retiré du grand parc. Triste.




Matoufilou

La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
8 Commentaires
  1. Arbres , bancs, chaises, conversations fantomatiques …

  2. Absentes, mais le bruit des cancaneries reste…
    Belle mise en situation.
    Franville

  3. J’entends d’ici les commérages et les astuces sur les points de croix.
    C’est triste ces gens qui s’en vont toujours trop tôt, car c’est toujours trop tôt…
    Belle photo pleine d’emotions

  4. Belle composition mais trop serrée a mon goût mais cela n enlève rien a la beauté de l histoire

  5. Comme Lespans, pour une fois, je suis un peu à l’étroit dans ce carré … et oui, parfois ! Mais le sujet transpire encore les chamailleries de mamies avec cette chaise et ce banc en tête à tête !

  6. Une image qui laisse songeur, bravo!

  7. Le dialogue est interrompu mais le symbole reste.

  8. Le vide, toujours trop tôt oui, même quand l’heure est venue.
    Belle image empreinte de ce lourd sentiment d’absence.

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