« Il s'agit de trouver quelque chose d'intéressant dans un endroit ordinaire... Cela n'a pas grand-chose à voir avec les choses que vous voyez, mais cela a tout à voir avec la façon dont vous les voyez. »
Elliott ERWITT
10 Commentaires
Anonyme
sur 30 janvier 2024 à 8h07
Photo après photo, c’est un tableau très sombre de ce coin de Lorraine qui se construit. Impressionnant.
MRVR
J’ai écrit un petit article aujourd’hui sur un style photographique connu sur mon blog, c’est très ressemblant à cette image. https://philippedeletree.ovh/index.php/blog/
Aurais-je mieux centré la voiture, je ne sais pas.
M.RVR
sur 30 janvier 2024 à 10h33
Ça me fait penser aux photographies documentaires des années 30 aux USA.
PENDUFF Pascal
sur 30 janvier 2024 à 15h39
Oui, comme RVR, une “petite dépression”
Lucien
sur 30 janvier 2024 à 23h46
La beauté du banal, la grisaille sublimée par le regard.
Ce petit décentrement de la voiture fait comme un écho à celui de la ligne qui va de la cheminée à la grille de ventilation.
Somme toute, on s’attarde à regarder, sans perdre de vue le temps, qui œuvre en sourdine.
Matoufilou
sur 1 février 2024 à 18h28
Bon, dans ce coin de campagne, les panneaux solaires, c’est pas pour demain.
Estienne
sur 1 février 2024 à 18h41
Je connais bien ces villages, ils sont de chez moi. La place devant la maison était réservée au tas de fumier : plus il était gros, plus la maison était riche. Aujourd’hui, pas sûr qu’il y ai encore des magots derrière ces murs …
Photo après photo, c’est un tableau très sombre de ce coin de Lorraine qui se construit. Impressionnant.
MRVR
Y aura t il un coin de ciel bleu ?
Bientôt une série? Voire une publication.
nitrees
J’ai écrit un petit article aujourd’hui sur un style photographique connu sur mon blog, c’est très ressemblant à cette image. https://philippedeletree.ovh/index.php/blog/
Aurais-je mieux centré la voiture, je ne sais pas.
Ça me fait penser aux photographies documentaires des années 30 aux USA.
Oui, comme RVR, une “petite dépression”
La beauté du banal, la grisaille sublimée par le regard.
Ce petit décentrement de la voiture fait comme un écho à celui de la ligne qui va de la cheminée à la grille de ventilation.
Somme toute, on s’attarde à regarder, sans perdre de vue le temps, qui œuvre en sourdine.
Bon, dans ce coin de campagne, les panneaux solaires, c’est pas pour demain.
Je connais bien ces villages, ils sont de chez moi. La place devant la maison était réservée au tas de fumier : plus il était gros, plus la maison était riche. Aujourd’hui, pas sûr qu’il y ai encore des magots derrière ces murs …
Plutôt des mégots, oui, probable.