En voici un qui orchestre le monde à sa façon. Il le dessine, puis le raconte… et c’est comme la neige d’Estienne : on est ailleurs.




Matoufilou

La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
5 Commentaires
  1. ???

  2. @ RV : Je déduis de ton interrogation que tu es en manque d’explications…
    C’est la première vue qui m’a donné l’envie de titrer Le chef d’orchestre, mais tu as bien compris que les musiciens sont en fait des spectateurs, qui assistent à un spectacle de kamishibaï, comme le révèle la seconde vue.
    J’ai eu envie de jouer sur cette légère ambiguïté des images (le comédien est dans l’interaction avec son public) pour décaler le propos, introduire de la poésie (la même qu’on voit dans la vue précédente d’Estienne).

  3. Je ne connaissais pas du tout.

  4. Il est vrai que Le Maître du kamishibaï aurait été un titre plus ajusté. Mais pas plus parlant.

  5. Je ne connaissais pas ce genre de spectacle mais le regard de la première image évoque bien un chef d’orchestre !

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