Bon cette fois j’ai fait un effort sur le titre… Et je repars à l’instant pour quelques jours dans ma zone blanche.




Matoufilou

La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
5 Commentaires
  1. Là, l’éolienne semble avoir pris son envol dans le ciel tourmenté de Ploermel.
    MRVR

  2. Une profondeur de champ plus serrée aurait peut être isolée davantage le centre de cette machine.
    Cela affinerait les contours immédiats du cœur de l’étoile tout en transposant l’extrémité des pales dans d’autres plans, donc hors plan net. Tout dépend du type d’objectif utilisé cela va de soit.
    De plus, une grande ouverture eclaircirait avantageusement le gris ambiant, bien trop terne pour cette photo qui se veut dynamique; la rotation obstinée de la mécanique dans un ciel frappé par le chaos.
    Franville

  3. Pas facile de jouer sur la profondeur de champ même avec un très gros télé car la différence de distance entre le cœur de l’engin et ses pales est faible … Moi, j’aime bien ce gris qui évoque autant la pluie que la bourrasque et dont émerge l’éolienne à l’arrêt. Car elle doit être à l’arrêt : au dessus de 90 km/h de vent, le système se met en sécurité.

  4. superbes cadrage et atmosphère!

  5. @ Estienne : Je ne me souviens plus, mais oui elle devait être à l’arrêt.
    Par ailleurs, c’est une image prise à la volée, à travers un pare-brise de voiture roulant à 110 km/h, et je ne pensais pas parvenir à cet effet, avec l’éolienne dominant les arbres, l’eau en bas de l »image contre le pare-brise et les rafales de pluie qu’on devine au centre.
    En voyant le résultat, compte tenu des circonstances de la prise de vue, j’ai trouvé l’image assez miraculeuse, donnant une atmosphère qui sublimait l’instant.
    Merci à vous.

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